Il y a des jours où l’on ferait tout et n’importe quoi pour rester au lit, surtout après une promenade nocturne qui vous a méchamment privé d’une partie de votre nuit de sommeil. Oh je ne m’en plains pas tant que ça, passer du temps seule avec Drago c’est bien agréable. Je me blottissais un peu plus sous ma couette pendant que la voix d’une de mes camarades de classes se faisait de plus en plus insistante.

« - Astoria ! Allez, c’est l’heure, on va louper le petit déjeuner… »

Après maintes et maintes plainte insistante je finis par soupirer et repousser la couverture qui me protégeais encore le visage il y a quelques seconde.

« - Ah, enfin tu émerges ! Tu es rentré à quelle heure hier soir ? »

Je marmonne un vague je sais pas, et finit par me lever, direction la salle de bain. Au bout de quelques longues minutes sous l’eau chaude je suis déjà de bien meilleure humeur. De retour dans ma chambre j’enfile une chemise blanche, la jupe plissé de l’uniforme et une cravate verte. J’attrape ma robe de sorcier (qui d’après moi ressemble plus à un léger manteau noir) et l’enfile par-dessus. Bientôt je ressemble à toute les autres élèves de ma maison, enfin si on fait exception de mon visage. Des chaussettes grises et de petite chaussure noire viennent compléter ma tenue. Cette fois je suis parfaite pour aller petit déjeuner. J’attrape le sac en toile sombre qui me sert de sac d’école.

Aujourd’hui c’est le jour de cours le plus passionnant, sortilège, potion et métamorphose, des cours que j’apprécie grandement même si les professeur, eux, me déplaise ou m’effraie. Quoique potion avec les Gryffondor c’est toujours amusant. Je prend la direction de la salle commune, bien sur vu la lenteur avec laquelle je me suis extraite de mon lit ce matin normal que tout le monde soit déjà partie dans la grande salle. D’ailleurs mon amie ne tarde pas à ronchonner à se propos.

« - Pff… tout le monde est déjà partie, tu parles… »

Je lui jette un regard noir, la jeune fille semble comprendre que je n’ai pas envie de parler d’avantage. On est en retard par ma faute ok, mais si elle voulait être à l’heure elle avait qu’à partir sans moi, non ? On monte jusqu’au rez-de-chaussée, direction la grande salle, celle-ci est pleine, apparemment on est pas si en retard que ça… Je m’installe tranquillement à une table et me sert une part d’omelette et une tranche de bacon. Au loin je peux observer Drago occuper avec ses amis. Plus ça va plus je m’installe près de lui, bientôt on va finir par manger côte à côte.

« - Alors, bien dormis Astoria ? On a crut que tu n’émergerais jamais ! »

J’adresse un sourire à la jeune fille qui vient de me parler.

« - Oui, j’ai bien crut que je ne pourrais jamais me lever non plus… Je me suis coucher tard hier. »

Je pioche un morceau de nourriture dans mon assiette, on ne peut pas dire que je n’ai pas d’appétit, je suis capable de manger n’importe quoi à table mais le matin je ne suis jamais assez réveiller pour ça, aussi le repas se fait toujours de façon machinale encore plus quand je suis fatigué. Je rend son sourire à Drago, c’est toujours agréable de le voire de bonne humeur. En revanche je ne peux qu’adresser un regard surpris à Pansy… D’habitude elle ne me parle pas plus que ça.

« - Hmm… surement, mais comme tu as dis je ne le connais pas plus que ça… Peut être qu’il veut juste être un peu tranquille ? »

Elle m’adresse un drôle de regard, auquel je tâche de ne pas répondre d’une façon méchante. Heureusement elle finit par éclater de rire, enfin un rire méprisant, mais… mieux vaut ne pas y répondre.

« - Tu es mignonne, Astoria… »

Puis elle se lève. Je fronce les sourcils, mignonne… vu le ton sur lequel elle a prononcer ce mot je doute que ce soit vraiment sympathique… Heureusement qu’elle ne tarde pas à se lever pour partir. Je regarde un long moment la jeune fille s’éloigner, décidemment je ne l’aime pas du tout le Miss. Parkinson. Après un moment je me lève à mon tour, direction les cours. Ce matin c’est deux heures de métamorphose, avec McGonagall… c’est pas comme si je ne l’aimais pas mais presque… Directrice des gryffondor, insupportablement portée sur l’égalité et qui n’épargne rien à personne.

Finalement la journée finit par arrivée à son terme, le repas du soir et avec l’heure de colle. Deux heures, deux heures avec Drago… et Rogue. Ca c’était la mauvaise partie de l’histoire… personne au monde ne pourrait rêver de passer la soirée avec le professeur de potion. Je m’étais installer dans la salle commune en attendant l’heure où il faudrait retrouver le professeur. Cette heure ne tarda pas à arriver et bientôt je me trouvais fasse à la salle des potions en compagnie du blond.

« - Bon et bien… deux soirs de suite ensemble, on va finir par ne plus se quitter tout les deux. »

C’est un peu ironique mais bon… c’est vrais que c’est plutôt rare que l’on passe autant de temps ensemble. J’ouvre doucement la porte de la salle, bien sur Rogue est déjà là, à croire qu’il n’a pas quitté la classe depuis tout à l’heure. Il nous accueil sans sourire.

« - Bien… Miss. Greengrass, M. Malefoy… Prenez une feuille, vous allez me faire une rédaction sur l’histoire et la préparation de la potion de Felix Felicis pour monsieur, et pour mademoiselle sur la solution de force, et ce sera noté. »

Je ne peux que soupirer… L’histoire de la magie c’est une chose, mais l’histoire d’une potion c’est vraiment cruel , j’adresse un regard désespéré à Drago… mais au fond à part un miracle il y a peu de chance que l’on puisse s’entre-aider… Je finis par m’assoir et prend la feuille qu’il me tend, puis sans grande joie je plonge ma plume dans de l’encre et commence à rédiger la rédaction.

1 032 mots= 50 points +5

Je finis par plonger dans mon sujet, enfin noter ce dont je me souviens pour la solution de force. Nous l’avions étudier il y a quelques jours mais, franchement, je ne m’en souvenais pas trop et je n’avais pas encore réviser tout ça. Bilan je me trouvais tout juste capable de gribouiller quelques vagues souvenirs d’ingrédients. Cela ne me plait pas du tout, je tiens énormément à ma bonne moyenne. Je suis tellement absorber par la recherche de mes quelques malheureux souvenir que je n’entend pas du tout le professeur s’approcher de nous, si bien que je sursaute lorsqu’il parle à Drago. Pourquoi diable veut-il nos baguette ? Je lui remet la mienne de mauvaise grâce, je n’aime pas être séparé de ma baguette, c’est comme si on me privait d’une partie de moi. A mon grand étonnement Rogue sort de la pièce et nous y enferme. Je ne peux m’empêcher de sourire à son hypothèse.

« - Et bien… Si il revient que demain on passera la nuit ensemble, c’est pas comme si ce n’était jamais arrivé. »

Vu le nombre de fois que petite j’avais été dormir chez lui et que, effrayer par l’idée de rester seule au bout du couloir, j’avais insister pour qu’il reste avec moi ou pour qu’il m’emmène avec lui… Bon maintenant je dois avouer que cela n’arrivait plus, je savais très bien qu’il n’y a rien à craindre au bout du couloir. Néanmoins il m’arrivait de veiller tard avec le jeune homme et de m’endormir sur son lit, mais cela restait somme toute assez rare.

« - De toute façon il reviendra surement, ne serait-ce que pour s’assurer qu’on est bien sage. »

J’imaginais mal Rogue abandonner des élèves sans surveillance, ça ne lui ressemblais pas. Surtout si il nous avait prit nos baguettes, il allait bien devoir revenir pour nous les rendre, non ? Enfin j’espère, car franchement être privé d’elles deux heures ça allait être dure, mais alors si il fallait attendre jusqu’à demain… c’est comme si je n’était plus qu’une moitié de sorcière jusque là.

« - Oui, il sera obliger de revenir. Pour nous rendre nos baguette au moins ! »

Je lui adresse un sourire amusé, avouons que cela arrive très souvent à M. Malefoy de se jeter des fleures, et quand il le fait c’est toujours avec tant de panache que l’on ne peut que le croire ou en rire. Dans mon cas, j’en ris. J’ai passé l’âge de le prendre au sérieux dans ces moment là.

« - Oh, mais je n’ai jamais sut ce qu’étais la vie sans toi très cher, vu que depuis notre plus jeune âge je me trouve contrainte à ta présence… »

Néanmoins je dois avouer que les terme excitante m’a donner de bien drôle d’idée, enfin pas vraiment des idées, plutôt des prémices d’idées… Et je me hâte bien vite de les faire disparaitre en espérant que mon ami n’est pas put se rendre compte de mon trouble. Le temps que je m’arrache à ces brouillons d’idées je vois ma feuille envoler et Drago penché dessus.

« - Tu n’es pas obligé tu sais… »

Enfin je ne vais pas non plus m’en plaindre, vu son talent en potion cela m’évitera une super mauvaise note. Je ne peux pas m’empêcher de jeter un coup d’œil au dessus de son épaule et de lire attentivement chaque phrase qu’il note et d’imprimer tout cela, si Rogue nous soupçonne d’avoir tricher j’aimerais autant savoir ce que Drago m’a inscrit comme réponse, ca ne pourra pas me nuire. Quand il a finit je ne peux m’empêcher de me pencher au dessus de lui et d’émettre un petit sifflement.

« - C’est que tu imites plutôt bien mon écriture… Un talent naturel ? »

Je me redresse vivement et prend doucement le parchemin pour le relire une dernière fois, si on est accusé d’avoir tricher on est partie pour une nouvelle session d’heure de colle et certainement séparé cette fois. Quand je suis sur d’avoir bien tout retenu je vais poser le parchemin au dessus de celui de Drago sur le bureau. Je finis par adresser un bref regard à la salle de classe. La salle de potion possède quelques fenêtre, mais espéré pouvoir voire l’extérieur à travers le épais vitraux serait vain… Je finis par soupirer, et promener mon regard vers les quelques chaudrons qui occupe les fond de la salle. En m’en approchant je constate que certains son plein, mais ils ne semblent pas tous contenir la même potion, au vue de l’apparence et des odeurs. Certaine sente admirablement bon, d’autre, au contraire, qui puait horriblement.

« - Et bien… Il y en a une sacré collection de potion. »

J’aimerais bien savoir quelles sont leur effets à toutes, surtout celles qui sentent bon… mais bon on va éviter d’en gouter une sans quoi on risque la catastrophe.

« - A ton avis, il les à toute préparé, ou certaine on été faites par les élèves ? »

Je m’arrache à la contemplation de liquide pour revenir vers le blond, bien que les potions soient la seule chose intéressante ici ce n’était pas une raison pour y rester coller tout le reste de la soirée. Je m’approche de la porte et tente de l’ouvrir avec un ustensile qui trainait par là, après quelques vaine tentative je finis par abandonner, au moins j’aurais essayer.

« - Pas de baguettes, pas de sortie… »

Je retourne m’installer à ma place en soupirant. Non vraiment c’est ennuyeux de rester enfermer là. Si seulement on pouvait sortir, ou si quelqu’un pouvait nous ouvrir de l’extérieur… Bon il faut arrêter de rêver, et puis on trouvera forcément quelque chose pour s’occuper dans cette pièce, ce n’est pas comme si elle était totalement vide. Je finis par me retourner vers Drago, un léger sourire au lèvre.

« - Enfin, tu avais parler de l’aspect excitant de la soirée… Cher ami, je serais ravis que tu m’exposes tes idées. »

Après tout, on était coincé, seul, sans surveillance… On ne pouvait pas dire que Rogue n’avait pas choisit lui-même de nous mettre dans une situation propice aux bêtises en tout genre. Au fond c’était peut être un de ces drôle de test que nous font parfois subir les adultes pour s’assurer que l’on est bien sage en leur absence et qu’ils peuvent nous faire confiance ? Peut-être… Et bien tant pis pour lui, il apprendra à ne pas laisser deux jeunes gens tout seul. Je croise mes jambes et appuie mon coude dans la paume de mes mains.

« - A moins que tu ne me propose un cours particulier de potion ? »

Là j’avouerais ne pas en mourir d’envie, et ça se sent dans ma voix, franchement, les potions, j’en ai assez avec mes heures de cours.

Je lui adresse un petit sourire amusé, bien sur que cela fait longtemps que je n’ai pas dormis dans son lit… mais en même temps il y a bien longtemps que j’ai passé l’âge de craindre les croque-mitaines et épouvantards qui pouvait hanter le manoir Malefoy. Je ne peux qui lui dire sur un petit ton moqueur.

« - Et… tu regrettes que je ne les craignes plus ? »

Il faut dire que j’en ai eut peur pendant tellement longtemps des monstres… mais en un sens toutes les histoires raconter pour faire peur ne sont certainement pas étrangère à ces longues années de peur. Je l’écoute en souriant, je n’imagine même pas ce que Drago a put vivre si il a été surprit à imiter l’écriture de ses parents, personnellement c’est un jeu auquel je ne me risquerais pas, mon père n’est pas du genre à apprécier ces petites plaisanterie, et quand je vois comment il traite ma sœur je n’ai pas envie de le fâcher.

J’observe un instant le blond se reculer des potions, par mesure de prudence je l’imite. Oui j’imagine volontiers Rogue passer son temps libre à faire des potions, pourquoi ferait-il autre chose de toute façon ? A-t-il seulement une vie sociale ? Pauvre professeur. Je n’aimerais pas avoir sa vie, passer son temps le nez dans des chaudrons et des potions. J’ai beau bien aimer les potions si je pouvais me passer de Rogue je le ferais volontiers. Ce prof est aussi angoissant que désagréable. Je reste un moment immobile avant de me lever à nouveau, mais finalement il n’y a vraiment nulle part où aller, je finis par m’appuyer sur une table. Deux heures… Sans baguette, heureusement sans Rogue aussi apparemment. Je jette un regard interrogateur à Drago quand je le vois se lever. Où peut-il aller ? Lui qui a à peine bouger jusque là. Finalement il ne tarde pas à s’approcher lentement de moi, je dois avouer que ça me fait tout drôle. Surtout quand d’un coup il place ses deux mains autour de moi.

« - En effet, un cours de potion ne me tente pas plus que ça, et je doute d’être une élève attentive… »

Ma voix se cassa légèrement sur la fin de ma phrase, son doigt remontant légèrement le long de mon bras m’arracha un frisson qui se propagea doucement dans tout mon corps quand sa main arriva au niveau de mon visage. Je fermais doucement les yeux profitant de ce bref contact, je les ouvrit à nouveau à sa question. Mener la danse ? J’apprécie son regard amusé, et commence à deviner ce qu’il a en tête. J’acquiesce doucement d’un signe de la tête et bientôt son doigt se retire de mes lèvres et les siennes ne tardent pas à le remplacer. J’ai bien du mal à réprimer un frisson. Drago peut se montrer très tendre mais à ce point, je me sens toute drôle je dois dire. Je le laisse m’attirer contre lui, lui rendant son étreinte et glissant mon visage dans le creux de son épaule. Son odeur m’imprègne doucement, je me sens vraiment bien. Je glisse une de mes mains dans mon dos pour resserrer un peu son étreinte.

« - Je ne suis pas en porcelaine Drago, tu peux serrer. Je te dirais si tu me tiens trop fort. »

J’avais prononcer cette phrase doucement, comme si un mot prononcer plus fort briserait l’instant qui c’était installer entre nous. Moi-même je le sert un peu plus fort, et embrasse doucement son cou. Finalement, j’ai bien envie que Rogue ne reviennent pas de la nuit, tant pis pour les baguette on les récupèrera demain. Une de mes mains remonte de son dos à sa nuque et s’y installe, jouant un peu avec les cheveux du jeune homme.

635 mots = 40 points

Moi aussi j'avais peur, même si on pourrait remettre la cause sur l'atmosphère du manoir. En effet, il est très sombre et il n'y a vraiment presque aucune couleur qui donnerait la joie de vivre. Tout est sombre, tellement sinistre...mais le manoir reflète notre état d'esprit. C'est idiot de le dire, mais on sourit très peu, mon père est vraiment très sérieux et ne supporte pas le fait que l'on puisse partir dans du n'importe quoi ne serait-ce qu'une seule seconde. J'espère que je ne suis pas comme ça ...mon père n'est pas un bon exemple, mon père est un idiot ...et parfois je ne me gêne pas pour le lui rappeler évidement mais bon après j'en paye les conséquences, je ne suis pas fier, mais au moins j'ai osé lui dire ce qui me passe par la tête. Je n'ai plus peur de lui, plus du tout. Je ris légèrement à la remarque d'Astoria, reprenant assez vite mon sérieux.

-Oui parce qu'en général, comme tu dois dormir dans un lit autre que le mien tu quittes assez tôt ma chambre, et non parce que Mademoiselle Astoria Greengrass prenait toute la place dans le lit quand elle s'endormait sur le mien. Puis évidement, je n'allais pas dormir par terre ou dans le tien.

Je me souviens, d'une nuit ou je n'ai pas du tout dormi. J'ai plus passé mon temps à la regarder dormir ou à veiller sur elle, plutôt que de chercher à m'endormir. Je souris légèrement du fait qu'elle ne sera pas une élève attentive, évidement surtout si c'est moi qui donne le cours, personne ne pourrait être attentif. Soit je risquerais de faire des crasses, soit ....soit je sais pas bonne question ! Je m'approche lentement d'elle, quittant l'endroit où j'étais avant puis je pose mes mains de part et d'autre de ses jambes, sur la table, proche d'elle. Mes doigts glissent lentement le long de son bras, remontant tout aussi lentement vers son visage, mon index se stoppa sur ses lèvres, elles sont si douces, si fines ...et je ne pu résister à l'envie de les sentir contre les miennes mais ce fut rapide, mais trop rapide à mon goût. Je glisse ensuite mes bras autour d'elle, la serrant faiblement n'osant pas trop resserrer mon étreinte, de peur de lui faire mal. Je n'ai pas l'habitude des câlins, ou d'en faire alors je ne saurais pas contrôler ma force et c'est sa qui me fait un peu peur. J'hume son odeur, fermant lentement mes yeux profitant de cette douceur, que jamais je n'ai vraiment connu. Je vis dans un univers de brutes, ils se tapent toujours dessus, ils se font toujours du mal et moi j'assiste à ces scènes. Je me sens mieux quand elle est là, c'est un autre monde, une autre personne, et au moins je ne pense pas à ce qui m'attend. Je resserre un peu plus mon étreinte, mais pas trop fort non plus, ne voulant pas l'étouffer ou sentir craquer l'un de ses membres, rien que sa je m'en voudrais.

Un frisson parcourt mon corps en entier, lentement mais sûrement rien qu'au contact de ses lèvres sur mon cou. Je pince légèrement mes lèvres entre elles, ce contact me fait un bien fou. Mes doigts se glissent le long de son dos puis je relève la tête vers elle, remettant mon visage face au sien ayant de nouveau envie de sentir ses lèvres contre les miennes. Je souffle légèrement sur les siennes avant d'écarter ses jambes, venant entre elles pour être plus proche d'elle puis je frôle ses lèvres des miennes avant d'exercer de douces pressions dessus, une main se glissant sur le bas de son dos. C'est une sensation agréable, que je n'ai jamais connu auparavant. Je suis quelque peu effrayé, n'ayant pas l'habitude et les sentiments inconnus me font fuir, mais là, je n'en ai pas vraiment envie. Je glisse ma langue contre tes lèvres lentement, voulant qu'elle rejoigne la tienne tout en te collant à moi. Au diable Rogue, et le fait que nous n'avons pas de baguette, je n'en ai plus vraiment envie maintenant, tout ce que je veux c'est que l'on reste encore seul ...pendant un bon bout de temps.

Je quitte lentement ses lèvres, descendant les miennes le long de sa joue, puis sur sa mâchoire que j'embrasse rapidement puis elles finissent leur route sur son cou. Je mordille légèrement une parcelle de peau, y passant l'extrémité de ma langue, mes mains quittant son dos, se posant sur ses cuisses. Je suis assez surpris, si un jour on m'aurait dit que cela arriverait ...j'aurais ris au nez à la personne, qui me l'aurait "prédit'.

779 mots = 43 points (je n'ai pas fais mieux ^^)

Parfois, dans une vie il se passe des choses étranges, même pour les sorciers… Vous faites viré les cheveux de votre mère du châtain au bleu, vous obtenez une potion violette alors qu’elle aurait dut être orange vif… ou vous vous retrouvez entrain d’embrasser votre meilleur ami alors qu’il y a quelque jours de ça vous souteniez qu’entre vous deux il n’y aura jamais qu’une saine amitié… D’un coup je commence à douter de mes affirmations, enfin non, je n’en doute pas vraiment car pour l’instant je suis assez étonné par la situation. Pour l’instant je suis toujours blottit contre lui, j’écoute sa respiration et je n’ai aucune envie de quitter son étreinte. Je sens une de ses mains descendre dans mon dos et je sens qu’il quitte mon épaule où il avait appuyer sa tête, instinctivement je ressers un peu plus mon étreinte autours de lui, de peur qu’il décide d’y mettre fin.

Le voyant relever la tête je dresse à mon tour la mienne, scrutant son regard gris. Il écarte mes jambes, étrangement je n’y oppose aucune résistance le laissant venir encore plus prêt. Une fois de plus il vint prendre mes lèvres mais cette fois il chercha pas à les quitter rapidement, au contraire. Je sentit une douce pression s’exercer sur ma bouche, un frisson descend le long de ma colonne vertébrale, j’ai l’impression d’être totalement électriser, ce frisson descend doucement jusqu’au bas de mon ventre où j’ai l’impression qu’il se propage en une douce chaleur. J’appuie doucement sur sa nuque pour l’approcher encore plus prêt. Je sens la caresse de sa langue sur mes lèvres, j’entrouvre ma bouche pour le rejoindre laissant doucement nos langues se découvrir. Chaque contact augmente l’intensité des frissons qui traverses mon corps des sensations aussi douces que violentes et incroyablement nouvelle. Nous sommes maintenant totalement coller l’un à l’autre, j’ai envie que sa dure encore plus longtemps.

J’ai pourtant déjà embrasser des garçons mais… Je crois que je n’ai jamais autant chercher à rester accrocher à l’un d’eux comme ça. Doucement une de mes main quitte son dos pour remonter lentement contre son torse, à travers la chemise je peux deviner son corps mince. De nouveau ses lèvres quitte les miennes, trop tôt à mon goût. Je sens ses mains descendre de mon dos à mes cuisses, et ma respiration se fait un peu plus profonde et rapide aussi. Je sens ses lèvre descendre doucement vers mon cou et s’y arrêtant, j’ai un léger sursaut quand ses dents entre en contact avec ma peau et ma main se crispe vivement sur sa chemise, accrochant sa peau au passage. De nouveau un frisson parcours mon corps, mais cette fois plus intenses que les précédents. Je relâche la pression de ma main de peur de lui faire mal, de nouveau je la pose à plat sur son torse appuyant mon front contre son épaule. Je suis si proche de lui je peux sentir le battement de son cœur sur ma poitrine, a moins que ce ne soit le mien ? J’ai l’impression que tout mon corps c’est mit à s’accélérer légèrement, mon souffle, mon cœur…

Ma main remonte lentement le long de son corps jusqu’à son visage que je relève doucement, je laisse mes doigts se promener légèrement, son front, son nez, sa mâchoire, j’ai l’impression de le redécouvrir. Bien sur j’ai toujours eut conscience que Drago était un beau garçon, et qu’avec le temps cela ne pourrait que s’accentuer mais d’un coup ce sentiment s’impose à moi. Je continue de laisser courir mes doigts et descend de l’arrête de son nez à ses lèvres. Je regarde un moment le contraste de ma peau sur la sienne, avant de faire glisser ma main de sa bouche à sa joue et cette fois je prend l’initiative de lier nos lèvres avec une tendresse dont je ne me serais jamais crut capable à nouveau ma main toujours poser sur sa joue. Je m’éloigne doucement de lui, admirant encore son visage. Ma main descend de nouveau mais s’arrête au niveau de son épaule où elle reste installé un bref instant avant que je décide de rapprocher à nouveau nos deux corps qui c’était légèrement éloigner. Je pose à nouveau mes lèvres dans son cou, mais cette fois ci je ne me contente pas d’un baiser mais de plusieurs je remonte jusqu’à son oreille dont je mordille légèrement le lobe, l’une de mes mains vient se poser sur la table au toucher je tente de voire si celle-ci est libre, puis je m’y hisse doucement. Cette manœuvre nous à de nouveau éloigné, je laisse ma main glisser sur son bras et je prend sa main tirant doucement pour l’inviter à se rapprocher à nouveau.

« - Tu ne connais pas une potion qui arrêterais le temps ?»

Ma voix est presque un murmure, je me demande même si il m’a entendu.

Je lui offre mes lèvres, encore et encore avec la même envie de ne rester ainsi encore un peu plus longtemps, ne plus le quitter et rester enfermé dans cette salle. Tant pis pour le reste du monde, il peut très bien continuer à tourner sans nous non ? J’entourais doucement sa langue de la mienne tachant d’approfondir encore un peu notre baiser, mes mains parcoure doucement le haut de son corps toujours sagement poser au dessus de sa chemise, de temps à autre légèrement, parfois d’une manière un peu plus appuyer. Son souffle c’est accéléré et sous ma main je sens son cœur s’emballer, et nos corps s’approcher encore un peu plus. Et j’ai chaud, pas énormément, mais plus que tout à l’heure, une chaleur qui vient de l’intérieur et qui se propage dans tout mon bassin. J’ai l’impression que ma respiration est de plus en plus rapide et profonde.

Je l’observe un moment, notament son regard, une fois de plus je me sens troubler par ses yeux. Un regard doux et brûlant en même temps. C’est étrange de voire autant d’émotion dans son regard si froid d’habitude, je l’attire à moi pour l’embrasser à nouveau appuyant doucement mes lèvres sur les siennes je sens ses mains toujours poser sur mes cuisses , et de nouveau ses lèvres sur les miennes mais cette fois si le contact est plus bref et j’entend un léger gémissement échapper à son contrôle et cela m’arrache un petit sourire. Et je l’attire doucement contre moi, lui debout, moi assise sur la table. J’ai un petit soupir quand Drago m’annonce qu’il ne connait pas de potion, tant pis.

« - On va devoir faire bon usage du temps qui nous est imparti alors ? »

Je lui adresse un sourire avant de le laisser revenir contre moi, je glisse un de mes mains sur son visage emprisonnant encore ses lèvres un court moment. Je n’ai aucune envie de les quitter ou même de le quitter lui. Pourvu que Rogue se fasse dévorer par je ne sais quelles créatures qui peut hanter ces couloirs et que tout le monde oublis l’existence de cette salle… Je sens ses mains défaire mon nœud de cravate, ne cherchant pas à l’en empêcher, de même lorsqu’il défait ma chemise dénudant du même coup mon buste et offrant ma poitrine à sa vue. Je lève un peu la tête lorsque ses lèvres se pose sur mon menton. J’ai l’impression que mon corps prend feu de l’intérieur, c’est une sensation inconnu que je laisse volontiers m’envahir. Le contact de ses lèvres si proche de ma poitrine m’apporte un nouveau frisson, et ma main se crispe sur le bord de la table pendant qu’un léger gémissement m’échappe alors qu’il ‘‘marque’’ mon corps. Bientôt son souffle remonte mon corps et une fois de plus nos lèvres se trouve lier, je mordille doucement sa lèvre inférieur alors que sa main se pose sur un de mes seins le massant. Je laisse ma main descendre de son dos à sa jambe avant de remonter une fois de plus le long de son torse mais cette fois je passe sous sa chemise, caressant directement sa peau. J’appuie ma tête sur son épaule, mon souffle c’est encore accéléré, quant à mon cœur il bas si fort que je commence à craindre qu’il s’échappe de ma poitrine. Sa phrase me surprend, autant qu’elle me rassure. Il ne me forcera pas.

« - Je… je veux que tu continu, pour l’instant… »

Je l’embrasse à nouveau ma main continuant d’explorer le torse de Drago. Je n’ai jamais laisser un garçon m’approcher à ce point alors bien sur… Je ne sais pas exactement ce que je veux. Je glisse ma langue sur ses lèvres mais m’éloigne rapidement.

« - Je ne sais pas jusqu’où je veux aller. »

Ma voix est toujours aussi basse, mais son oreille est suffisamment proche pour qu’il entende. J’embrasse sa joue et laisse descendre mes lèvre jusqu’à son cou. Ma main finit par quitter le corps du garçon pour aider l’autre à défaire la cravate de Drago et déboutonner sa chemise, je l’écarte doucement et pose mes lèvres là où quelques seconde plus tôt ma main était poser. Puis je l’attire encore plus près de moi, désirant sentir sa peau sur la mienne. Mes mains descendent doucement jusqu’à ses hanches, comme ça je me rend compte qu’il est encore plus fin et plus attirant que je l’imaginais. Comme d’un coup je comprends toutes ces filles qui se battent pour qu’il les remarque. Comment, sans rien faire, ai-je put attirer son attention ? Mystère, peut être que, finalement, je n’ai rien eut faire parce que je n’avais pas besoin d’agir… Peut être que… Non, je me fais surement des idées… Je relève ma tête et l’embrasse une nouvelle fois avant de murmurer à son oreille.

« - Drago, il faut que tu saches que… enfin… Je n’ai jamais laisser un garçon m’approcher comme maintenant… »

Il comprendra surement le message caché, message que je me sens bien incapable de formuler à l’instant présent. Je caresse doucement le jeune homme, prenant mon temps pour découvrir chaque partie de son corps auquel j’ai accès. Doucement je laisse mes mains remonter vers ses épaules je commence à retirer sa chemise, mais m’arrête. Je sais qu’il n’est pas à l’aise avec la marque, par contre j’ignore si il acceptera que je le vois torse nu. Je finis par m’éloigner doucement de lui, et par plonger mon regard dans le sien, cherchant une approbation ou un refus.

926 mots = 45 points

Je ne peux retenir un sourire soulager, bien sur qu’il ne m’aurait pas forcer mais… C’est rassurant, en un sens. Je m’accroche à lui, laissant mon corps s’accorder avec le siens. Nos respirations se réponde, c’est étrange, un peu comme si on avait plonger dans un univers parallèle, un univers où il n’y a plus que lui et moi. J’ai envie de faire durer ce moment éternellement, ne plus revenir à la réalité, ne plus devoir se comporter en simple camarade de maison devant tout le monde, ne plus penser au seigneur de ténèbres, à Potter et sa clique, ni même au mangemorts. Oublier tout ça, balancer par une fenêtre dans un trou sombre et sans fond, les laisser tomber pour l’éternité… Juste garder ce moment, intense et, pourtant, étrangement parfait.

J’observe un moment Drago, je dois l’avouer, j’aime le regard qu’il pose sur moi… Si il pouvait toujours me regarder ainsi. Tant pis pour les autres, qu’est-ce qu’on peut en avoir à faire des autres ? En cet instant ils sont si insignifiant. Dans les bras de Drago j’ai l’impression qu’il ne peut rien m’arriver, que c’est là ma place et surement pas celle d’une autre. J’appuie mon visage contre sa main et lui adresse un nouveau sourire.

« - Merci. »

Je laisse échapper un léger gémissement en sentant ses dents mordiller ma lèvre et tirer un peu dessus, et j’accroche encore ses lèvres, je en veux pas qu’il arrête de m’embrasser, pas maintenant, encore un peu. Mes mains commence à enlever sa chemise, mais s’arrête au milieu de leur geste. J’attend un signe qui ne tarde pas à venir, il entreprend de m’aider à la retirer dévoilant le haut de son corps et la marque. D’un coup je sens une poussé de jalousie envers ce seigneur, je ne veux pas que Drago Lui appartiennent, je le veux juste pour moi. Je dépose un baiser rapide sur son avant bras, juste au dessous de la marque, puis je remonte doucement jusqu’à son épaule en continuant de l’embrasser. Une forme de défis, d’affirmation… je ne sais pas. Ce que je sais c’est que je refuse de partager le garçon. Et tant pis pour ce que cela implique. Je sens ma chemise quitter mon corps me voilas presque aussi déshabiller que lui, si on fait exception du soutien-gorge noir qui cache encore une partie de ma poitrine à sa vue. Sa main se déplace sous mes fesses et je ne peux pas retenir un léger gémissement quand nos corps se rapproche, laissant nos peau entrer en contact. Ses doigts se glisse son mon soutient gorge, l’idée qu’il puisse l’enlever effleure mon esprit et s’accompagne d’une étrange contraction dans le bas de mon ventre, contraction agréable je dois préciser. Mes lèvres se glisse dans son coup que j’embrasse à nouveau, mais je me sens un peu plus pressante ou fiévreuse, je ne saurais dire. Peut être sa main étant descendu plus bas ? Ou alors mes jambes qu’il glisse autours de lui et que je noue bien volontiers, me laissant porter jusqu’au bureau du professeur.

Bientôt je m’y trouve allonger et lui au dessus de moi. Cette position nouvelle amplifie les sensations et les frissons qui parcours mon corps. Je l’attire contre moi, je veux sentir son corps et sa chaleur. Ses lèvres reviennent parcourir ma poitrine qui se soulève de plus en plus rapidement au rythme de ma respiration, je sens sa main plus bas sur mon ventre, et le contact de ses doigts autours de mon nombril m’arrache un léger soupir, mais ce n’est rien comparer à sa main qui passe sous mon soutient gorge et jouer avec le bout de mon sein. Je laisse échapper un gémissement, un peu plus fort que les autres, et ne peut empêcher mon corps de se cambrer sous le sien. C’est effrayant de ne plus contrôler ses propres réaction, mais dans cette situation c’est également agréable. Je laisse ma main remonter le long de son dos, mes jambes toujours nouer autours de son bassin, et viens chercher son visage pour l’embrasser, incapable de lui exprimer autrement ce que je ressens à l’instant présent, je me laisse aller au feu qui c’est désormais emparer de tout mon être. Je crois n’avoir jamais mit autant de passion à embrasser un garçon. Quand j’arrive enfin à m’arracher à ses lèvres ce n’est que pour lui murmurer :

« - Enlèves-le si il te gêne… »

Après tout ce soutien-gorge est la dernière barrière entre mon buste et son torse autant l’enlever. Ma main retournes explorer son torse, je m’arrêtes au niveau de son téton me demandant si cet endroit est aussi sensible pour lui que pour moi. Je laisse doucement tourner mon doigt autours, appuyant un peu plus par moment, pinçant légèrement, puis y déposant mes lèvres curieuse du goût de sa peau. J’ai l’impression qu’il hésite à poursuivre sa propre exploration. Ma main rejoins doucement la sienne autours de mon nombril et appuie légèrement avant de remonter sur son torse, je finis par décroiser mes jambes , et poursuit avec l’une de mes mains mes caresse pendant que l’autre se glisse dans ses cheveux blond, jouant avec. Je continue de survoler son torse de la paume de ma main et finit par arriver au niveau de son aine. J’y joue un moment, tantôt avec ma main entière, puis le bout de doigts, allant même jusqu’à y laisser courir mes ongles comme pour le menacer d’une griffure, mais je n’ose pas vraiment descendre plus bas. Du bout de mes lèvre je mordilles la peau de son cou, alternant de temps à autre avec des baisers, parfois tendre, parfois léger, parfois beaucoup plus passionné.

948 mots = 46 points

Je sens ses lèvres se poser une nouvelle fois sur les miennes, j’aime la passion qui c’est emparer de lui. Une passion à laquelle je ne me fait pas prier pour répondre, appuyant ma main dans sa nuque pour rapprocher encore nos corps, approfondir encore un peu notre baisers. Chaque contact s’accompagne de soupir ou gémissement et je sens mon bas ventre se contracter d’avantage depuis qu’il a prit place au dessus de moi. Toutes trace de timidité à disparue, je me laisse aller à ses caresses, explorant avec plaisir son corps. Sa main sur ma poitrine, à même ma peau, m’arrache un gémissement qu’il serait vint d’espérer dissimuler. C’est agréable, incroyablement agréable. Avant même que se soit finit je sais que je le laisserais recommencer, encore et encore. Et dire que la plus grande partie des gens le trouve froid, si ils savaient… Je sens une de ses mains remonter dans mon dos vers le soutien-gorge. Je me relève légèrement pour lui faciliter la tâche et bientôt je suis tout aussi dénudée que lui. Je dois avouer que je sens mes joue s’empourprée légèrement, un peu gênée par cette tenue. Après tout ce n’est pas vraiment l’attitude que l’on attend d’une jeune fille de sang pur. Je sens ses lèvre se poser sur mes épaules maintenant complètement nue et un gémissement lui échappe me confirmant que je ne suis pas la seule à être sensible à cette endroit là… Mais mes mains sont déjà partie à la découverte d’autre partie du jeune homme. J’ai un petit sourire en l’entendant gémir sous mes ongles, tient donc ? Je pend note, et laisse remonter mes ‘‘griffes’’ sur son torse laissant au passage une petite trainée rose qui devrait s’estomper dans quelques secondes. Je le sens s’appuyer d’avantage sur mon corps et jouer avec le bout de mon oreille. Un contact surprenant qui m’arrache un léger soupir qui se transforme peu à peu en gémissement alors que son corps bouge doucement contre le mien, comme si il répondait à quelques vieux instinct oublier mon corps répond à ses mouvement et j’ai l’impression que tout mon bas ventre brûle d’un feu ardent. A un tel point que je me demande si je pourrais seulement éteindre cette chaleur un jour.

Drago bouge doucement, modifiant la position de nos jambes, je le laisse faire… Après tout ne l’ai-je pas autoriser à mener la danse ? Ses mains retourne jouer sur mes cuisses, parfois à l’intérieur de mes jambes. Je répond à ces caresses par de léger soupir, il semble respecter une distance, cela me rassure et m’incite à le laisser poursuivre. Ses mains finissent par remonter le long de mon corps qui se cambre une nouvelle fois, je fermes mes yeux, les lèvres entrouverte et un gémissement de plaisir et de surprise s’en échappe alors que sa langue vient taquiner l’un de mes seins puis qu’il le mordille. Puis je sens son visage quitter le haut de mon corps et descendre sur mon ventre tout en l’embrassant. De nouveau le contact de sa langue, de nouveau mon corps se soulève légèrement, et ma main se sert sur le bureau du professeur. C’est très agréable, trop peut être. Bientôt il ne tarde pas à être de nouveau au dessus de moi, ses lèvres contre les miennes. J’ai un léger sourire à sa question, et je l’attire encore contre moi, l’embrassant avec douceur avant de murmurer à mon tours.

« - J’aimerais que ça dure éternellement… »

Je l’embrasse à nouveau laissant glisser mes mains sur son corps, massant légèrement ses hanches. Oui j’aimerais que ça dure pour toujours, qu’on aille plus loin… J’aimerais vraiment me donner à Drago, et qu’importe ce que cela impliquait, j’avais la nette impression que quelque chose avait changer ce soir vis-à-vis de Drago. Pas comme quelque chose nouveau, plus comme si j’avais aperçu quelque chose qui avait toujours été là, attendant patiemment qu’on le remarque. Je finis par rendre la liberté à ses lèvres, mes mains sont remonter au niveau de ses épaules.

« - Malheureusement… Je doute que Rogue nous ait oublié, alors… Il vaut peut être mieux s’arrêter pendant qu’on en ait encore capable ? »

A vrais dire je ne suis pas sur d’en être vraiment capable, enfin… Je veux dire qu’il me faudra un gros effort de volonté pour ça, et je ne garantie pas que la prochaine fois je pourrais même envisager un arrêt avant d’avoir offert à mon corps ce qu’il réclamait. Je me redresse doucement, imposant à Drago de s’assoir et vient une nouvelle fois me glisser dans ses bras. Profitant encore un instant de sa peau sur la mienne, le temps que ma respiration s’apaise et que les battements de mon cœur reviennent à la normale. Ma tête appuyer sur son torse je ne peux que murmurer une nouvelle fois.

« - Oui… J’aurais aimer que ça ne s’arrête jamais. »

Je finis par m’arracher à sa chaleur, et préfère ne plus le regarder tant que nous n’avons pas remis nos uniformes, certaine que si l’on échangeait le moindres regard ça recommencerait, mais cette fois sans possibilité d’arrêter. Quand le dernier bouton de ma chemise est attacher et que ma cravate est de nouveau nouer autours de mon cou je me retourne. Lui adressant un sourire un peu gêné. Puis j’entreprend de ramasser les quelques affaires tomber du bureau de Rogue. Je ramasse une montre qui trainait là, adressant un sourire un peu triste au jeune homme.

« - Les deux heures sont presque écoulé, il ne devrait pas tarder. »

Je retourne m’assoir à ma place, et j’attend. Essayant de chasser mon trouble.

941 mots = 45 points

Posé contre lui, à écouter son cœur battre… Je n’ai qu’une envie que le temps de ne reprennent jamais son cours. Je noue mes bras autours de sa taille fine, sa tête poser sur la mienne. Comme j’aimerais que ce soit toujours ainsi, que ma vie ne change jamais, car en cet instant elle est parfaite, parfaitement parfaite. Je veux profiter de sa chaleur et de sa douceur indéfiniment, et je sens qu’après cette soirée mes rapport avec ses ‘‘prétendantes’’ ne vont pas s’arranger. J’embrasse une dernière fois sa peau avant de me détacher de lui pour retrouver mes vêtements. Puis de retour à ma place, et là… j’attend. Oh pas longtemps car des bruits de pas ne tarde pas à se faire entendre et le visage de Rogue ne tarde pas à apparaitre. Il jeta un regard suspicieux sur la salle de potion, ce n’est pas comme si l’on allait faire un massacre ou détruire ses précieuses potion. Après avoir marché un instant dans la pièce en promenant son regard, il finit par nous rendre nos baguettes et nos libérer. Je le regardais se plonger tout de suite dans nos copies, mon dieu pourvu qu’il ne découvre pas la tricherie.


Je finis par rejoindre Drago hors de la pièce, et je finis par ranger ma baguette dans mon sac. Heureuse de l’avoir enfin retrouver. Vraiment on ne peut se sentir que bien avec sa baguette sous la main. Je restais un moment planter là. Je savais pertinemment qu’une fois de retour dans la salle commune tout reviendra comme d’habitude, chacun dans son coin à attendre une occasion de pouvoir se parler… Finalement un raclement de gorge suivit d’un « - Si vous tenez à rester ici, je peux vous conviez demain pour deux nouvelles heures . », me fit bouger. Non merci deux heure de colle supplémentaire très peu pour moi. Je refermais la porte et emboitait le pas à Drago.


« - J’espère que oui, qu’on aura toute notre vie pour recommencer. »


Je sentis mes joues s’empourprée légèrement, disons que les déclaration, même de ce genre ne sont pas monnaie courante dans notre maison, c’est même quasiment interdit dans cette maison. J’eu un petit sourire avant de donner un léger coup de coude au jeune homme.


« - Toute la vie… Dois-je comprendre que vous décidez de m’avoir à vos côté dans votre vie et pas seulement pour le plaisir d’embêter mon père, M. Malefoy ? »


Oh je n’allais pas m’en plaindre, tout compte fais je m’imaginais mal passer ma vie avec un autre garçon que lui. Je ne sais trop pourquoi, mais finalement il n’y avait qu’avec Drago que je m’entendais aussi bien alors… Je marchais le plus lentement possible, après tout le couvre feu était peut être passé, mais on avait une bonne excuse non ? On sortait d’heure de colle. Le seule ennuie de cette horaire c’est que personne ne dormais à cette heure, alors bien sur quand on rentrerait il y aurait surement encore quelques élèves dans la salle commune, il allait falloir qu’on se sépare tout de suite. Malheureusement on a beau marcher à la vitesse d’une tortue soumise au sortilège du blocjambe, on finit bien par arrivé face à l’entrée de notre magnifique salle de commune. Je poussais un soupire, vraiment je n’avais aucune envie d’y retournée… Pansy se jetterait tout de suite sur lui à mon grand désespoir. Oooh comme j’aimerais qu’elle nous est surpris tout les deux tout à l’heure…


Je me retournais pour lui faire face, il était quand même plus grand que moi… Enfin je ne suis pas bien grande non plus… Finalement après un moment à le regarder je me mit un peu sur la pointe des pieds et glissais mes bras autours de son cou avant de prendre ses lèvres pour la dernière fois de la soirée. J’en profitais un moment avant de lui rendre sa liberté et de soupirer.


« - Prêt à retourner à notre quotidien ? »


En toute honnêteté je n’y étais pas du tout prête, j’aurais tellement préféré rester comme ça ou alors tant pis pour toutes ses années à se cacher, j’aurais vraiment voulu rentrer à son bras… Mais bon, on ne rêve pas, surtout que rien n’est plus fourbe et dangereux qu’un serpentard ayant un moyen de pression ou de profiter de vous, et quoi de mieux qu’une relation sincère entre deux personnes, n’est ce pas Kaulitz ? Néanmoins je ne put retenir un soupir en prononçant le mot de passe. Les bruits de la salle commune venant à nos oreilles, la voix de Pansy se fit entendre un peu plus haute que les autres.


« - Mais qu’est qu’il fait ? Il devrait être rentré depuis tout à l’heure. »


J’eu un soupire, comme je la haïssais d’être toujours avec lui. Je soupirais, levant les yeux au ciel avant de prononcer sur un ton plus agressif que je l’aurais voulu, jalouse moi ? Certainement pas de Pansy, juste énervée par son attitude.


« - Tu es attendu on dirais… »

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J’ai du mal à revenir à la réalité, mais ça me calme bien vite. Je me sens beaucoup moins à l’étroit maintenant et au moins je n’ai plus l’air d’un idiot qui a trop regarder des choses pas très catholiques. Je quitte la pièce, ayant peur que mon regard me trahisse, sachant que Rogue sait bien quand j’ai fais une bêtise, quand quelque chose me tracasse et il n’attendra pas un seul instant pour me prendre à part et me rappeler à l’ordre, me remettre les pendules à l’heure comme on dirait. Je tourne la tête vers Astoria qui ne tarda pas à me rejoindre et je lui adresse un petit sourire, avant d’entendre la voix sèche et rauque du professeur Rogue. Je soupire et je décampe assez vite, ne voulant pas me retrouver deux heures en plus ce soir avec lui …enfin je sais que cette fois, il ne s’absentera pas et puis il aura le regard sur nous, vaudrait mieux ne pas bouger. Je n’ai pas vraiment l’habitude qu’on me dise ce genre de chose, je n’ai pas l’habitude de le dire non plus mais venant d’elle …ça me fait du bien, oui mais ça me fait peur à la fois. Moi qui croyait ne pas pouvoir ressentir ces sentiments là, ressentir tout ça, ces émotions ou même que mon cœur aurait pu un jour battre aussi fort qu’il pouvait pour une femme, surtout pour Astoria. Moi qui croyait que personne ne pouvait m’atteindre, je crois que je me suis tromper, et vraiment. Je sursaute légèrement à son léger coup de coude, étant perdu dans mes pensées puis j’affiche un sourire en coin, détournant mon regard continuant de marcher à la lenteur d’une tortue, n’étant pas très motivé pour retrouver les verts et argents. Je baisse mon regard vers le sol, à nouveau pensif, mais lui répondant :

-Je n’y répondrais pas, comprends-le comme tu le veux.

J’aime laisser le doute, bon certes parfois c’est effrayant, mais je ne suis pas du genre à me déclarer, sûrement un jour …mais pour le moment, je suis plutôt « coincé ». Je n’ai jamais éprouvé de l’amour pour quelqu’un, je n’ai jamais eu cette impression que des ailes nous poussent dans le dos, qui nous donne confiance en soit et qu’à cet instant là, on ferait tout et n’importe quoi pour cette personne. Je déglutis difficilement, n’aimant pas du tout ça je suis effrayé, j’ai envie de cela me quitte. J’ai l’impression d’être finalement comme les autres …mais sûrement que je n’éprouve que ça pour une seule et unique personne ? La seule personne en qui j’ai toujours eu confiance, la seule personne que j’ai toujours aidé, que j’ai toujours protégé …

Je n’ai pas envie de retourner subir ce que je subis tout les jours. Goyle et Crabbe vont se demander où j’étais, Pansy va m’assommer de questions, je le sens gros comme un Troll. Je m’arrête et je baisse mon regard vers elle avant de poser mes mains sur sa taille et de réembrasser ses lèvres, lentement. Je me détache ensuite, sachant que tout redeviendra à la normale après ça.

-J’en meurs d’envie, tu ne sais pas toi.

Dis-je avec ironie, avec une telle motivation …rien que de me faire l’imagine d’une Pansy curieuse me donne des frissons. Je frôle lentement sa main de la mienne avant que l’on arrive devant le portrait. J’ouvre la bouche pour dire le mot de passe mais elle le fait à ma place. J’entends alors Parkinson, qui parle évidement de moi. Tiens ? Elle s’inquiète ? Le toutou est perdu sans son maitre ? La pauvre petite fille, il va bien falloir qu’elle se détache de moi. Je remarque le ton changeant de Miss Greengrass un peu surpris avant de sourire amusé.

-Oh mais rassure-toi …moi je n’avais aucune envie de la retrouver.

Elle releva le regard, je croise le sien avant d’avoir un mouvement de recul quand elle se mit à me hurler presque dessus, comme une harpie. Je la laisse parler, elle a une tête effrayante quand elle vire au rouge tomate. Je fronce un sourcil, ne comprenant que la moitié.

-Oui oui oui …bon tu as fini ? J’avais juste des heures de retenues, c’est pas la mort !

P. « Bah si ! la mienne ! Idiot ! Je me suis inquiétée et tu me dis simplement ça ? »

-Bah …Joyeux Noël ?

Elle serra les poings et me serra fort contre elle, malgré sa colère. Un peu trop fort même, limite si elle ne m’étouffe pas. Je la détache rapidement ne supportant guère ces étreintes, ayant comme l’impression que si j’étais emprisonné. Je remets ma chemise correctement avant de me diriger vers un autre groupe de Serpentard. Pansy te lança un regard noir, si elle avait pu d’un seul regard elle aurait pu te tuer. Je vous lance un regard te surveillant, mais le plus discrètement possible.

P. « Quoi Greengrass ? Un problème peut-être ? Pourquoi t’étais en colle avec Dray ? Je suis sûre que …t’as essayé de te le faire hein. Bah non ! Ne rêve pas ma petite, les contes de fées n’existent pas. »

Dit-elle sur un ton insolent, elle haussa la voix pour que tout le monde l’entende. Goyle ria amusé, lui donne un coup de coude assez violent à son ventre, ne trouvant vraiment pas sa drôle. Je ne dis rien pour le moment, ne sachant pas si je dois me l’ouvrir comme à mon habitude ou pas. Elle te souria, comme une vraie pimbêche puis tourna les talons, fière d’elle.

932 mots = 45 points

Le prendre comme je veux ? Ma fois j’y réfléchirais plus tard, pour l’instant je préfère profiter une dernière fois de ses lèvres… Oh j’y resterais bien accrocher encore des heures mais il faut bien retourner à la réalité, dure réalité qui consiste à agir comme n’importe quel camarade de maison… Pour ma part j’allais devoir me plier à l’accord tacite de la maison de Serpentard qui stipulait qu’aucune fille de la maison ne devait courtiser Drago à l’exception de Parkinson, c’est peut être facile pour la plus part des filles, mais quand on connait le jeune Malefoy depuis son plus jeune âge et que l’on est habitué à rire avec lui et à lui parler ouvertement ça devient vite agaçant. Plus j’y pense plus je me dis que Pansy est surement une des personne que je hais le plus en ce bas monde.

Rien qu’entendre sa voix est un profond agacement, et quand je pense que Daphné traine avec elle… Ma propre sœur, alors qu’elle sait pertinemment que je suis amie avec Drago… En fait elle aurait du mal à ne pas le savoir vu qu’elle est de ma famille, et qu’elle sait très bien que c’est chez lui que je me réfugie quand ca ne va pas à la maison. Daphné Greengrass est une personne compliquée quand on y pense, elle sait pour Drago et moi mais elle n’en profite pas, ne fait aucun sous entendu et nous à même déjà couvert une fois. Par moment je ne sais pas quoi penser de ma grande sœur, peut être qu’en fait elle m’aime bien… Il faut dire qu’on parle peu toutes les deux, et que je la trouve un peu trop cruelle à mon goût. Enfin ce n’est pas de ma faute si je suis contre toute forme de méchanceté gratuite. Oui, tout les serpentards ne sont pas forcément des gens qui aime faire souffrir, pour ma part je ne fait du mal que si j’y suis poussé, sans quoi je suis, certes manipulatrice, mais aussi inoffensive qu’un agneau.

D’ailleurs j’ai le sentiment que je vais à voire du mal à rester la calme et douce Astoria que tout le monde connait. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’intuition que ce soir je ne me coucherais pas de bonne humeur. Une intuition qui est rapidement confirmé par Pansy qui débarque comme une furie dés que l’on fait un pas dans la salle commune. Je reste immobile, la regardant interloqué. Bien sur ce n’est pas sur moi qu’elle crie, mais je ne peux m’empêcher d’essayer de comprendre ce qu’elle dit. A bien la regarder elle me fait l’effet d’un poisson sortie de l’eau qui s’agite bêtement, en fait elle parle si vite et si fort que personne ne doit rien y comprendre. Etrange qu’elle puisse se permettre cela sans être tourner en ridicule, à croire qu’ici tout le monde la voit comme une reine. Derrière elle je peux voire ma sœur assise dans un fauteuil, elle est mince, trop mince… Mais dans son attitude calme et sereine, un peu méprisante et détaché, elle me fait vraiment l’effet d’une reine, plus que Pansy en ce moment. Malgré moi je ne peux que me demander pourquoi Drago m’a choisit plutôt qu’elle ? Enfin j’imagine que l’on est trop différente pour être comparé…

Je ne peux empêcher mes sourcils de se froncer quand je la vois se jeter sur Drago, non mais vraiment… Elle cherche quoi ? L’étouffer ? Lui broyer la colonne vertébrale ? Je la hais mais un point qu’il est impossible de nommer. J’aperçois Daphné relever la tête dans son fauteuil, j’aimerais qu’elle interviennent, qu’elle rappelle cette furie qui lui sert d’amie… mais elle ne fait rien… Enfin si elle me regarde, je soupire. Bien sur, si tu le veux bas toi… Ca ne m’étonnes pas d’elle. Je la fusille elle aussi du regard, je n’ai pas envie de me battre pour Drago, j’ai déjà son affection, je le sais. Je ne veux pas affronter Pansy pour ce que j’ai déjà. Je m’apprête à passer devant elle, quand Parkinson m’interpelle. Si elle savait, je meurs d’envie de lui balancer au visage la vérité, mais non… Non hors de question, cet instant là il n’est que à Drago et à moi, je refuse qu’elle le sache c’est comme si elle s’y trouvait d’un coup mêler. Néanmoins je ne peux m’empêcher de répliquer sur un ton acide, méprisant et supérieur que je ne me connait pas.

« - Oui, en effet, il y a un problème, Parkinson » J’appuie sur son nom, malgré moi ma façon de prononcer son prénom sonne avec tout le mépris que je peux lui porter. Je sens les regards poser sur nous, je vois Daphné qui c’est redressé, le menton sur ses mains, et une lueur d’encouragement ? Dans ses yeux. « - Je disais donc, oui, j’ai un problème Parkinson. J’aimerais te faire remarqué qu’après deux heures de colles entendre ta voix sifflante et aigüe n’est pas le meilleur moyen de faire passer une rédaction de potion, à la rigueur ça colle une migraine. » J’ai le cœur qui bas à tout rompre, Pansy c’est retourné et je sens que ça colère est sur le point de se déchaîné, néanmoins je reprend, le plus calmement possible, une personne calme est toujours supérieur à une personne déchaîner dans la parole. « - Après en ce qui concerne mon heure de colle avec Drago, je ne pense pas avoir à me justifier… Néanmoins, dans mon immense gentillesse, je vais t’épargner une nuit blanche à te demander si par hasard j’aurais réussis ce que tu tentes désespérément depuis ta première année, donc j’ai été collé en même temps que Drago parce que j’avais oublier un livre dans la salle de métamorphose, et malheureusement le professeur Rogue passait par là, il m’a mit une heure de colle, le couvre-feu étant passé. Il se trouve que ce jour là Drago avait décidé de s’accordé une promenade nocturne et c’est également fait pincer, Rogue à donc trouver plus commode de nous coller ensemble pour s’épargner une surveillance d’élèves pendant deux soirs de suite. C’est compréhensif il me semble ? » Merlin sauves moi… Tout les regards sont braquer sur moi… Bon tant pis j’ai commencer je continue. « - Mais bon, on peut te pardonner de ne pas y avoir penser par toi-même, après tout ce n’est pas comme si notre maison était réputé pour réunir les esprit malin, rusé et intelligent de Poudlard… »

Je regarde ma sœur rire, et Pansy me regarder avec deux sortilège de mort en guise d’yeux… Oui, je viens de sous-entendre qu’elle est idiote, moi Astoria Greengrass l’élève timide de Serpentard j’ai tenue tête à Pansy Parkinson. Bon allez autant terminer ce que j’ai entrepris…

« - D’ailleurs, tu ferais mieux d’appliquer ton propre conseille Pansy… Arrêtes de croire aux contes de fée, t’as raison ça n’existe pas… La paysanne restera toujours une paysanne, c’est pas elle qui épousera le prince. »

Je la laisse là et passe le plus dignement possible devant elle, le silence est totale dans la salle, Daphné à arrêter de rire, et je peux voire une lueur de fierté dans son regard. Oh et puis comme je suis lancée, je me permet d’apostrophé Goyle qui avait rit quand Pansy m’avait crier dessus.

« - Au fait, Goyle, tu devrais arrêter de rire, ça fait vraiment ressortir ton côté idiot et ce n’est pas à ton avantage, vraiment… »

Puis je rentre dans les dortoirs des filles après avoir lancer un « - Bonne nuit. » des plus sec à l’assemblé. Voilas qui fera un charmant sujet de discussion demain. A peine ai-je fermé la porte du dortoir que je peux entendre Pansy exploser à nouveau… Pauvre Drago.

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Je trouvais ça étrange qu’aucunes filles ne m’approchent plus que ça. Sûrement Pansy qui fait le ménage à ma place mais ce qui m’embête le plus, c’est le fait que je ne peux pas vraiment passer de temps avec Astoria sans qu’elle le raconte à tout le monde, ou qu’elle s’en prenne à elle j’ai beau lui dire quoique ce soit, je crois qu’elle ne comprend pas, faut-il que j’emploie les pires moyens ? Je suis déjà exaspéré de son comportement envers moi à cet instant. Je serre les dents, essayant de rester calme lui envoyant quand même des petites vannes à la tête mais pas trop méchante pour le moment. Elle me prend dans ses bras, je sens quelques os se craquer, cette fille à vraiment de la force, elle pourrait broyer les os de n’importe qui. Je m’empresse de la repousser rapidement, avec dégoût essuyant ma chemise, la remettant en place ne supportant pas que quelqu’un d’autre me touche, autre que moi ou Astoria.

Elle soupira un peu blessée quand même par mon geste. Je la dévisage, ne me gênant pas et je me dirige vers mon groupe de Serpentard, apercevant Crabbe, Goyle et d’autres. Je jette un regard à ceux qui occupent la salle commune, il y a la plupart des serpents qui se trouvent ici. Je jette un coup d’œil à la sœur à Astoria, jolie mais sans plus, ce n’est pas vraiment mon goût, Astoria est plus calme, plus douce et plus gentille. Certes, pour quelqu’un comme moi, on aurait tendance à dire que j’aime les femmes sauvages, agressive …or c’est faux. Je ne pourrais l’expliquer ça, c’est comme ça et pas autrement. Je bouge un peu mes épaules, celles-ci encore endormit à cause de l’étreinte assez forte de Parkinson avant. Je ne suis pas en sucre, loin de là mais elle sait comment faire mal cette fille, c’est une vraie brute.

Je suis assez surpris qu’elle a osé s’en prendre à Astoria, évidement cela me refroidit vite, j’ai envie de dire quelque chose mais je vais m’abstenir, n’ayant pas envie de me manger une réflexion de sa part ce soir. Je lance un regard à Astoria, tout le monde se tut quand Pansy prit la parole, tout en haussant le ton exprès pour attirer l’attention. Sérieusement ? Elle me fait de la peine cette pauvre fille …elle ne sait plus quoi faire pour se rendre intéressante. Elle tourna les talons, fière d’elle ce qui la rend encore plus pathétique qu’à son habitude. Goyle pouffa de rire, je lui donne un coup de coude, qui ne ce veut pas vraiment gentil. Quand Astoria prit la parole, là vraiment tout le monde regarda, presque choqué, certains les yeux grands ouverts, d’autres si ce n’est que leur bouche qui s’ouvre. Je suis souvent le regard d’Astoria qui se dirigea vers sa sœur, je fronce les sourcils ayant peur de comprendre puis j’assiste au spectacle, presque amusé par le retournement de situation, Pansy qui vira au rouge, sûrement la honte. Personne n’a jamais osé lui tenir tête à cette fille, je ne pu m’empêché de rire moi aussi, de bon cœur. J’aime la façon dont Astoria remballe cette pauvre petite Parkinson. Je reprends doucement mon sérieux, elle te regarda, surprise comme si elle venait d’être pétrifiée.

P. « Tu… »

Elle ne trouva pas les mots. J’aime tout de même cette comparaison, et je ne peux que sourire en coin. C’est sûr, je ne voudrais jamais d’elle. Je te regarde t’approcher de nous, remettant aussi en place Goyle qui ne rigola plus du tout. Le silence règna jusqu’à ce que la porte du dortoir des filles claqua. Pansy éclata de rire.

P. « Voyez-vous cela …mes amis …Greengrass a une langue ! Je croyais qu’elle s’amusait à se rabaisser au niveau de Granger mais voyez-vous cela, très intéressant n’est-ce pas ? Aller, qui essaye de l’enflammer à ma place ? »

Je relève mon regard gris vers elle, la fusillant du regard avant de m’approcher vers elle, lentement ayant ce petit air sur le visage, signe que je suis vexé, ou que la colère doucement monte en moi. Elle me regarda un peu surprise.

-Et que dirais-tu si c’est moi qui le fasse ? Bien sûr, je ne l’enflammerais pas elle, comme tu le dis si bien mais …toi. Je pense que pour ce soir, tu t’es assez fait ridiculiser n’est-ce pas ? Il vaudrait mieux que tu ailles te coucher, au lieu d’aggraver ton cas.

Je la dévisage à nouveau avant de monter moi aussi posant ma main sur la porte du dortoir des garçons avant de tourner la tête vers celui des filles, le regardant un instant avant d’entrer finalement dans mon dortoir respectif, me dirigeant vers mon lit épuisé, retombant lentement sur un petit nuage. Je m’affale sur mon lit mon visage s’écrasant contre le coussin, fermant lentement mes yeux me changeant les idées en repensant à ce qui s’est passé dans le bureau de Rogue. Je me sens bizarre depuis cet instant là, et le fait qu'Astoria s'emporte comme ça m'a beaucoup plu; et m'a beaucoup amusé. Je ne m'y attendais pas, qu'elle riposte comme ça mais je ne peux que la féliciter. Ce n’est pas une journée, que j’oublierais facilement …

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