Dans l’obscurité et le froid d’une rude fin de soirée, une jeune femme, Minerva, était assise sur le rebord d’un toit. De l’extérieur, personne n’aurait pu deviner qu’elle était glacée par le froid. Seules ses joues rosies par la brise trahissaient un grelottement dès plus discret. Pourquoi restait-elle ici ? Alors que certainement tous les élèves se trouvaient bien au chaud dans leur dortoir, elle, que faisait-elle ? Et bien parfois, sans doute connaissez-vous ce sentiment-là, on veut être seul un moment pour réfléchir ou bien, simplement pour observer un horizon. On se sent bercé par une douce mélancolie dont on ne connait pas bien la source, mais on ne cherche pas à sortir de cette torpeur. Minerva éprouvait ce sentiment aujourd’hui. Et cela ne l’étonnait même pas, tant elle se sentait ailleurs. La jeune femme savait également que ce n’était que passage alors... Pourquoi ne pas se laisser aller le temps d’une soirée ? Sur son visage, un air impassible, comme si rien ne pouvait la déranger, ni la mettre à bout. Certaines petites boucles s’échappaient de son chignon quelque peu flou et ses yeux, brillant comme deux billes noires, ne se lassaient pas de scruter l’océan de verdure qui s’étendait au loin.

Plus tot dans la journée ;

« Mini ? Mini ? Faut que tu te lève, on a cours dans trente minutes » Mini ouvrit les yeux sur la jeune fille qui dormait a sa droite, une brune tout petite avec des lunettes elle lui aurait bien balancé quelques choses dans la tête a cette imbécile, la jeune fille avait passé beaucoup de temps as parlé avec ces camarades hier soir, Mini avait donc eu du mal à s’endormir. Minerva se leva soudainement de son lit et regarda la jeune fille qui préparait ces affaires et lui lança « Si t’avais pas passé ta nuit as raconté tes fantasmes de gamines ridicule, j’aurais pu me réveillé ce matin. Et arrête de m’appeler Mini comme si on été amis ! » La jeune fille regarda Minerva et sortit de la chambre en murmurant tout un tas de trucs sur sa mauvaise humeur de tout les jours, la jolie blonde eu un rictus et murmura « Mère nature t’as bien ratée… » Elle se leva du lit, et alla dans la salle d’eau pour faire sa toilette, une toilette qui fut assez rapide sachant que la belle n’avait plus que vingt minutes pour allez en cours, elle enfila son uniforme et claqua la porte de sa chambre.

Premier cours de la journée, Potion un cours que la belle affectionnait particulièrement, elle était très douer pour faire les potions et ce genre de choses, elle avait souvent pensé à devenir enseignante dans une école privée de magie ; pas un grand truc comme Poudlard, trop d’élèves elle ne souhaitait pas retenir tout les noms et les visages. Mais le mauvais œil semblait s’être abattu sur elle, Minerva mis trop de fois de rats dans l’unes de ces potions et baf !!! Un subtence gluante lui explosa a la tête, elle fut obliger de tout recommencer et de laver son chaudron, sous les rires de autres élèves, elle aurait voulut leurs coller les lèvres pour ne plus entendre leurs petits couinement de cochons. Deuxième heure de cours de la journée, Soins aux créatures magiques, mis en pratique des soins sur les hippogriffes, heureusement la jeune fille savait comment soignée ces sales bêtes et rien de sortant de l’ordinaire lui été arrivé lors de cette heures de cours. Le déjeuner arriva enfin, et la jeune fille fut impatiente d’aller se remplir l’estomac de cochonneries et surtout elle avait une gros envoie de sandwich au thon et un grand verre de jus de carotte. Mais la joie de se remplir l’estomac fut coupé lorsqu’un petite rousse l’arrêta dans les couloirs « Tu veux quoi ? » « Maman m’as envoyé un coli et y’a des trucs pour toi dedans, je me demandais si tu voulais que je te les apporte ce soir ? » Mini se retourna et regarda la jeune fille de haut en bas, elle se supportait pas cette fille, okay c’était sa demi-sœur mais même Minerva n’aimais pas sa façon d’être, petite fille parfaite… Mini haussa un sourcil et lui dit : « J’ai fait quelques choses qui pourrait te laisser penser que j’ai envie de passez du temps avec toi ? Léonie t’est rien pour moi, alors retourne a tes poupées et lâche moi la grappe » La jeune rouquine partie en courant dans la direction opposer tandis que sa sœur elle se dirigea vers la grand salle, elle attrapa une pomme et sortit, puis elle monta dans son dortoirs ; heureusement pour elle c’est cours était fini pour la journée…

De sa place, on pouvait aisément distinguer la forêt interdite, le Lac, ainsi que le terrain ou se tenaient les cours de Quidditch. Oui, il y avait une vue imprenable sur tout Poudlard. Voilà une heure, voir bientôt deux, que Minerva était assise là, immobile. Seules ses jambes se balançaient doucement dans le vide, non elle n’avait pas peur, d’ailleurs elle n’avait jamais eu le vertige de sa vie. Elle se sentait agréablement enveloppée par la brise qui persistait, le froid n’était pas insoutenable. Qu’on pouvait la sentir fragile et vulnérable, derrière cette apparence glaciale et cet air sauvage... Et pourtant elle aurait nié, nié tant qu’elle aurait pu, c’était une fille forte, disait-elle. Longtemps, elle avait tenue bon, même après le décès de son père qui était toute sa vie. Depuis ce jour elle avait changé, son caractère autrefois si doux s’était endurci et personne ne pouvait plus cerner ses sentiments, qu’elle cachait parfaitement. Aujourd’hui il ne lui restait que sa mère, autrefois énormément présente pour elle mais que Minerva avait finit par repousser avec l’âge. Elle n’avait besoins de personne, du moins c’était ce qu’elle se répétait car, son regard envoyait parfois malgré elle quelques signaux de détresse. Mais ce soir tout était différent, elle était plongé dans une sorte de somnolence constante, dans une lourde rêverie. Etait-ce car elle venait de recevoir une lettre de sa mère ? La première, en plusieurs années, qu’elle se décidait à envoyer. Minerva était bouleversée, même si elle ne l’aurait jamais avoué, ni jamais montré. Que voulez-vous, on ne choisit pas ses parents, ni ses origines ou encore son lieu de naissance. Elle est compliquée la vie, même si elle offre parfois des signes de reconnaissances lorsqu’on décide de la supporter avec courage.

Seule, sur ce bout de toiture à moitié cassée, Minerva recollait quelques morceaux de son enfance qui flottaient dans son esprit, et réfléchissait à ce que sa vie aurait été si son père était toujours là... Une sorte d’apaisement se dégageait d’elle, nul n’aurait deviné sa lutte intérieure, car il était déjà extrêmement rare de la voir plongé dans une telle torpeur. D’ailleurs, je crois bien que ça ne lui était encore jamais arrivé... Sa silhouette s’épanouissait dans une robe à manches longues et en laine noire qui s’arrêtait à peine au dessus de ses genoux, il faisait trop froid pour porter sa robe de sorcier. Ce soir, il faisait frais sur Poudlard, ce soir, Minerva était seule. Et pas un bruit, pas un chuchotement, ne se faisaient entendre. Jusqu'à ce qu’un craquement derrière elle brise le silence religieux ; elle se retourna et appercu une silhouette, lorsqu'elle reconnu la personne qui se tenait devant elle elle lanca; « Certains personnes on peur du vide...»

Les journées a Poudlard devinait de plus en plus monotone, la même routine du matin jusqu’au soir, la jeune fille n’en pouvais plus de ces journées sans intérêts. Ce levé le matin a six heure et demi, se doucher durant une vingtaine de minutes, mettre ce foutu uniforme atroce, puis allez dans la grande salle pour petit déjeuner, un pain aux chocolat et un grand verre de jus de citrouille. Allez en cours, retourner dans la grande salle pour le déjeuner et retourner en cours, puis faire ces devoirs. Elle n’en pouvait plus, il fallait qu’elle fasse quelques choses de sa vie, enfin au moins de sa vie a Poudlard, l’année prochaine allait être sa dernière année ici, et pour le moment Poudlard ne l’avait pas plus marqué que cela. Probablement qu’a force de regarder certains élèves s’impliqué dans en ce début de « guerre » elle avait fini par ce sentir inutiles, lorsqu’elle était en quatrième année et que l’AD et la Brigade d’inquisition avait été crée, elle avait voulu rejoindre la brigade, mais a cette époque la jeune fille n’avait pas assez d’assurance pour prend part de quelques choses d’aussi grand que cela. Aujourd’hui la belle savait qu’elle voulait et qu’elle devait faire quelques choses, mais loin d’être un moutons comme les élèves de sa maison, la jeune fille se rangeait plus simplement du coter de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, qui pourrait s’en douter en regardant la jeune Donaldson. Minerva Donaldson, surement l’une des jeunes filles les plus féminines de Poudlard, avec ces habits roses, et son maquillage de poupée et ces cheveux blonds qui lui tombaient en cascade sur les épaules, la jeune fille n’avait rien d’une adepte des conceptions de vous-savez-qui, mais depuis la mort de son père, sa vision du monde avait changé de A jusqu'à Z.

Son jeune interlocuteur s’avançai vers elle, la jeune fille le regarda s’approcher ces yeux verts essayaient de ce plonger dans les siens, elle ne cherchait pas a le déstabilisé, ou a le mettre mal a l’aise. Elle cherchait juste à savoir si son regard suintait la haine ou l’indifférence, elle avait entendu un tas de choses sur lui, mais ne portait pas de jugement sur le jeune homme au contraire. Elle essayait de crée sa propre définition du jeune homme, pour le moment tout ce qu’elle voyait de lui l’impressionnait. Depuis sa première année a Poudlard, Minerva est en quelques sorte en admiration devant l’héritier du clan Malefoy, la jeune fille aurait aimé avoir la chance d’avoir un quart de tout ce qu’il possède, des parents aussi célèbre que les sien, être respecter et craint par certaines personnes de Poudlard, avoir la chance d’avoir pu côtoyer des mangemorts. On pouvait le dire c’était un peu de la jalousie, assez étrange en soit, mais de la jalousie. La jeune fille sortit de ces penser lorsque le jeune homme répondit a sa remarque, elle haussa légèrement un sourcil, surprise de sa réponse. Elle n’avait pas imaginé une seule seconde qu’il allait lui répondre, certaines personnes se serait contenter de l’ignorer, d’autre aurait cherché à savoir ce qu’elle fessait ici.

« Probablement, ou alors peu être que sa nous inquiètent encore plus ?! »

La jeune serdaigles regarda le vide présent sous ces pieds, elle n’avait pas spécialement peur de la vide, ou même peur des choses en général, sauf exceptions, comme tout le monde elle avait peur de la mort, mais contrairement a son interlocuteur. Elle n’avait pas côtoyé la mort, son père était mort mais elle ne l’avait pas vu mourir, elle ne l’avait pas vu après sa mort non plus. Et elle avait une phobie irrationnel des clowns comme beaucoup de personnes, c’était l’une des seul choses sur terre qui pouvait lui faire perdre ces moyens. Une légère brise fit voler les cheveux de la jeune fille, elle ferma instinctivement les yeux pour éviter le vent, puis les ouvrit de nouveau avec délicatesse vers Drago. Il était assit a coter d’elle, elle était assez près pour sentir son parfum flotter dans l’air, mais pas assez près pour entendre sa respiration. La voix du jeune Malefoy s’éleva de nouveau, pour venir briser le silence. Il avait doucement raclée sa gorge, et lui avait demandé pourquoi elle l’observait assez souvent, un sourire apparu sur le visage de la jeune fille, elle n’avait pas imaginé cette scène comme sa. Elle avait toujours imaginé qu’il lui aurait demandé assez violement d’arrêter de l’observer tout le temps, mais ce fut une agréable surprise de constater qu’elle avait encore beaucoup de choses à apprendre sur ce jeune homme.

« C’est assez présomptueux de poser cette question a quelqu’un qu’on vient de rencontrée… Néanmoins, tu as raison je t’observe…Enfin je t’admire de loin plutôt »

Elle tourna la tête vers le jeune homme, peut n’être n’avais tel pas été discrète, et peut être l’avait el gêné, ce n’étais pas vraiment son intention. Minerva passa une main dans les cheveux, c’est vrai qu’elle aurait préféré être plus discrète, voir même invisible, elle n’était pas vraiment du genre a ce mettre en avant, elle avait un caractère fort, et une personnalité assez attractive. Mais elle n’avait jamais aimé être sur le devant de la scène, comme il se dit ; elle aimait agir avec discrétion. Elle regarda de nouveau vers le vide qui trônait a c’est pied. Loin de l’effrayer, l’étrange gouffre dessiner sous ces pieds commençait à la fasciner, elle pensait à la sensation qu’on devait avoir lors d’une chute aussi immense que celle-ci. Elle était attirée par les choses folles, ces choses qu’on rêve de faire avant de mourir, les choses qui provoque des sensations aussi intenses qu’une bonne dose d’adrénaline. Ces yeux vers toujours fixé vers le vide, elle cherchait dans sa tête une idée pour tomber sans tomber, idée assez compliquée à comprendre mais elle avait envie de ressentir quelques choses, quelques choses d’incroyable.

« T’est tu déjà demander l’impression qu’on a lorsqu’on tombe d’aussi haut ? La chute doit nous apporter une dose d’adrénaline intense… »



HJ ; humm je peux mieux faire xD

La nuit n'était pas assez sombre pour qu'il puisse y avoir un accident sur les toits de l'école, elle n'était pas assez sombre pour que la miss Minerva arrive à dormir...A vrai dire, elle n'aimait pas vraiment son dortoir et préférai dormir ailleurs, voir ne pas dormir que de rester dans cet endroit, avec les filles de sa maison à supporter leurs bavardages jusqu'a plus d'heures dans la nuit. Il lui arrivait de dormir dans le dortoir des garçons, mais, elle ne supportait toujours pas les ronflements que certains camarades pouvaient avoir...Elle se faufilait discrètement lorsque chaqu’uns d’eux était endormi, il y avait toujours une chambre de libre depuis que certains élèves avaient préféré quitter Poudlard. Minerva aimait dormir au calme, seule, elle aimait se retrouver dans un endroit sans dents qui grincent, sans ronflement et sans chuchotement incessant. Bon c’est vrai que la jeune Donaldson pouvait se montrer insupportable, mais elle n’était pas insupportable au point de faire tout son possible pour énervé les autres, elle n’avait pas que sa a faire de sa vie, bien que quelques fois, elle aurait aimé pétrifier les filles de son dortoirs pour avoir la paix la nuit ; mais bizarrement elle ne l’avait jamais fait.

Elle se souvenait de la premiers fois qu’elle avait entrevu Drago Malefoy, il marchait dans un couloir avec une tel allure et une prestance incroyable ; quelques élèves c’était timidement écarter de son chemin, et il était suivie par une masse d’élèves de sa maison : pourtant il n’était qu’en deuxième année. La jeune fille c’était dire que c’est ce qu’elle voulait être ; elle voulait être respecté aussi a Poudlard ; mais quand on est a serdaigles ; on a plus de chance de ce faire enfermé dans les toilettes ou de subir des tirades jusqu'à faire les devoirs des autres. Elle voulait aussi changer les élèves de serdaigle, elle en avait marre de leurs mentalités et de leurs incapacité a ce défendre. Bon c’est vrai que des fois elle adorait maltraité les premières années mais rien de méchant, et puis pour elle c’était surtout pour les pousser a ce défendre ; elle n’aimait pas la lâcheté ; c’était une des choses qui la fessait vomir ; s’en prendre au plus faible. Minerva était beaucoup de choses c’est sur ; elle était mystérieuse ; manipulatrice certaines fois ; sarcastique ; incohérente et certaines fois méchante sans bonne raison. Mais elle n’était pas lâche et elle avait de la persévérance, lorsqu’elle voulait quelques choses elle savait l’obtenir par tout les moyens possible. Elle voulait apprendre à être comme lui ; pour être respecté ; et elle comptait bien réussit à devenir son égal avec ou sans son aide. Elle leva les yeux vers celui qui lui fessait ce sentir si petite ; il était toujours la ; présent ; assit a la gauche de la jeune fille ; elle essayait de ce mettre a la sa. Place ; qu’aurait elle fait si quelqu’un qu’elle ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam ce mettais à lui lancer des regards insistant a chaque détour de couloir ? Elle l’aurait certainement exterminé en vulgarité. Elle n’aimait pas qu’on la regarde ; ce n’étais pas de la timidité non, c’était plus un gène qu’elle sentait lorsque les yeux de quelqu’un se posait sur elle. Un silence c’était encore installée entre les deux élèves, ce n’étais pas un silence pesant, aucunes tension ne se fessait ressentir loin de la, pour elle c’était plutôt un silence apaisant ; elle aimait bien sa. Rien de tel que la tranquillité pour avoir les idées clairs, bien que le silence fut rompu lorsqu’il lui demanda pourquoi elle passait son temps à l’admirer ; ces yeux d’un vert émeraude se plongea dans le regard gris du jeune homme, elle eu un sourire en coin, pas un sourire méchant ou un sourire narquois ; juste un fin sourire ;

« Parce que quelqu’un qui force le respect force l’admiration »

Armée de Dumbledore, ou bien les marqués. Quel drôle de question qu'était de choisir. Elle ne voulait pas s'immiscer là dedans avant de bien savoir faire la différence entre les deux camps, le commentaire du jeune homme lui avait un peu retourné l’esprit, Minerva préférait garder ces opinions pour le moment, même si le jeune Malefoy avait bien compris de quoi elle parlait. Elle ne voulait pas finir comme son frère. Elle ne voulait pas faire comme son frère. Elle voulait être un marqué, pour ne pas mourir, pour ne pas grandir dans les tourments de la lâcheté. Et de l’autre coté il y avait l’A.D. Mais en même temps, L'A.D était-elle vraiment une bonne chose ? Tout paraissait si compliqué pour Minerva. Fuir ces responsabilités là, c'était une chose envisageable pour elle , la jeune fille savait qu’elle devait s’impliqué d’une manière ou d’une autre. Drago était assez proche des marquée. Devait-elle lui posé des questions pour comprendre le but d'une telle guerre ? Mais jamais le mal ne le lui apprendra, n'est-ce pas ? La jeune fille se releva et se tourna vers le jeune Malefoy qui avait toujours le dos tourner, elle lui dit avec une voix aussi calme qu’avant ;

« Et où se situe le bien du mal ? »

Minerva passa une main dans la poche de sa robe de sorcière pour en sortir un sachet multicolores, des sucettes de cher Zonko ; elle en attrapa une et déchira le papier délicatement ; Elle glissa la sucette entre ses lèvres, de nouveau, la coinçant sur le coté de sa bouche, sa joue formant une boule. Puis elle étendit son bras en direction de Drago pour lui en proposer une. La jeune fille avait toujours eu un faibles pour les sucreries ; comme toutes les filles de son âge ou presque. Une nouvelle fois une brise souffla sur les toits de Poudlard, fessant volé les cheveux de la jeune fille, dans une geste désinvolte elle replaça ces cheveux puis elle reposa son regard sur le jeune Malefoy qui venait de reprendre la parole ;

Difficile a croire mais en six années a Poudlard, c’était l’unes des premières fois que la jeune fille mettait les pieds sur ce toit ; elle n’aimait pas trop trainer la nuit dans Poudlard, elle avait entendu tout un tas de trucs, et lors de sa première année ici une jeune fille c’était fait enlever, si bien que Poudlard avait failli fermer ces portes. Elle était assez courageuse, mais elle se disait que si les professeurs de Poudlard eu même ne pouvait rien faire contre des forces aussi puissante ; que pourrait faire une petite serdaigle de sixième année ? Mais si une situation de ce genre lui arriverait un jour ; elle savait qu’elle aurait la force de ce battre ; elle avait la force de faire les choses ; elle avait juste toujours une petite crainte en elle, celle de mourir. Pour elle la pire façon de mourir était la noyade ; et la « meilleure » était surement de mourir de vieillesse. Elle n’avait pas vraiment peur de l’avada kedavra ; elle se disait souvent que c’était comme une crise cardiaque accéléré, la douleur en moins. Minerva n’avais jamais été blessé gravement - mis a part les blessures du cœur ; les blessures qui ne guérissent jamais - sauf lorsqu’elle avait six ans et qu’elle était tombée de vélo, elle c’était enfoncé le guidon dans les cotes, mais a part ce petit incident ; elle n’avait jamais connu la douleur en elle-même. C’est peur aussi pour sa qu’elle était tellement casse-cou certaines fois.

Le vent soufflait de plus en plus fort ce soir la, mais c’était loin de déranger Minerva ; elle aimait sentir le vent s’engouffrer dans ces cheveux ; et le murmures des différentes brise qui se glissait doucement jusqu'à son oreille. Elle aimait être dehors, elle n’était pas trop faite pour rester enfermer ; elle adorait être dehors par tout les temps ; ce qui tombait plutôt bien sachant que quelques nuages gris fessait leurs apparitions dans la nuit ; la nuit n’était pas assez noir pour ne pas les apercevoir ; Minerva agita sa baguette en direction de sa poche et en sortit un parapluie au cas ou. Elle leva les yeux vers Drago il devait ce dire ; qu’elle espèce de folle va se trimbaler avec un parapluie dans sa poche ? Une jeune fille prévoyante qui n’aime pas trop ce genre de surprise ; mais ce parapluie n’était pas pour elle ; il était pour le jeune homme. Elle aimait trop sentir les gouttes d’eau s’écraser de plus en plus fort sur sa peau pour s’abriter ; la pluie était l’une des choses qu’elle préférait au monde ; avec les éclairs. Les éclairs qui finalement était comme son interlocuteur ; agréables a regarder ; mais quelques fois dangereux si on s’en approche trop près. Mais le moins qu’elle pouvait dire ; c’était que tout le monde ce trompait sur le jeune homme ; il n’avait pas montré de signe d’hostilité ; bien au contraire ; il était très poli ; a l’inverse des dires des gens de Poudlard. Voila pourquoi elle n’aimait pas écouter les bruits de couloirs.

Etant donnée son âge Minerva avait le choix ; elle savait qu’elle n’était pas obliger de choisir maintenant ; tel ou tel camps ; et que certaines personnes était neutre ; mais même les personnes neutre était impliqué dans la guerre et quelques part il soutenait les camps en ne fessant rien. Elle pensait qu’elle aurait toujours le choix ; puisqu’on a toujours le choix. Bien sur certains choix son dur à prendre et on des conséquences plus que terribles mais quelques fois il est nécessaires de prendre des choix difficiles, c’est comme sa qu’on avance dans la vie : on ne peut pas apprendre sans ce tromper n’est-ce pas ? Ces yeux vert toujours fixé sur le jeune homme ; elle se demandait qu’elle circonstance avait fait qu’il soit aujourd’hui plutôt porter vers le camp des marquées ; elle se demandait si sa famille y était pour quelques choses ou il avait fait se choix de lui-même ; mais sa famille devait surement y être pour quelques choses. Sa tante était Bellatrix Lestrange née Black ; l’une des marquée les plus célèbres du monde des sorciers, elle c’était échappée d’Azkaban trois années plus tôt, avec une tante comme sa on ne pouvait pas trop se permette d’être dans les rangs de l’armée de Dumbledore. Minerva regarda ensuite vers la vaste étendue d’eau qui ornait le parc de Poudlard ; elle aimait voir le reflet de la lune se refléter dans l’eau du lac noir. La jeune fille n’avait jamais eu une grande admiration pour les moldu ; elle ne les avait jamais vraiment détesté non plus ; mais lorsque sa mère c’était marier avec le facteur Minerva avait voué une haine envers eux ; et le faite qu’elle a en plus eu un enfant avec c’était la cerise sur le gâteau. Léonie était la preuve vivante de l’erreur humaine ; au départ Minerva pensait que Léonie allait être une cracmole ; mais par le pire du hasard la jeune fille avait développé des pouvoirs alors qu’elle avait neuf ans. Elle savait parfaitement ce qu’elle fessait ; elle était loin d’être une petite écervelée ; et sous ces airs de princesse la jeune fille était aussi forte que la pierre. Elle regarda Drago s’approcher d’elle et passer ces doigts sur sa joue ; ces mains était froide ce qui n’étais pas étonnant avec le froid glacial qui régnait sur les toits. Lorsqu’il enleva sa main de son visage ; la belle remit sa sucette dans sa bouche et le regarda dans les yeux ; puis lui dit ;

« En même temps que je choisisse l’un des deux ce sera un mauvais choix n’est-ce-pas ? Il y aura toujours des morts ou des blessé et sa on ne peut pas le changer…Je ne veux pas forcement qu’on … Eradique les moldu ; mais je ne veux pas que les sang-purs et les moldu s’accouplent… »

Elle observa Drago, son visage a quelques centimètre du siens, ces yeux ne pouvait se détaché des yeux gris du jeune homme ; une couleur qui n’était pas vraiment courante ; mais une couleur n’est en moins magnifique. Elle regarda ensuite en directions du vide une nouvelle fois ; elle n’était pas si loin de la paroi du toit ; et le vent qui devenait de plus en plus forte n’aidait pas à rester adroite. Elle se recula d’un pas ; et regarda Drago se diriger vers une des colonnes sur laquelle il s’appuya. La jeune fille se dirigea vers le même endroit et s’adossa contre la colonne en question ; elle leva les yeux vers le jeune homme ; sa sucette pourtant terminer elle garda son bâton dans la bouche ; mais l’enleva pour prendre la parole.

« Oh j'allais presque oublier; je m'appelle Minerva Donaldson »