© CYRINE

Eliana en quelques mots Courageuse Rusée Réfléchie Caractérielle Protectrice ■ PRÉNOM(S) : Eliana, mais appelez là Hell. ■ NOM(S) : Narcissa Zaccaria ■ ÂGE : 17 ans ■ FRÈRES/SOEURS : Un frère, Sven, qu'elle aime plus que tout. Il est maintenant Auror, suivant les mêmes idéaux que sa petite soeur. ■ ORIGINES & ASCENDANCE : Eliana descend d'une grande famille de Sang-Pur Italienne, connue dans le monde de la magie pour leur amour des arts sombres. ■ ANNÉE D'ÉTUDES : 6ème année ■ MAISON SOUHAITÉE : Serpentard ■ COMPOSITION DE LA BAGUETTE : Ma baguette magique est en bois de noyer. Elle mesure 23,5 cm et contient une plume de phénix. ft. Megan Fox

■ CARACTÈRE :

« Cher journal,

Je réalise une fois encore que ce monde n’est foulé que des êtres qui ne comprennent pas ce qui les entourent. Préssés, encore et toujours .. Une société faible, misérable, craintive. J’aimerais pleurer pour le deuil d’un Eden détruit, je pourrais pleurer pour cette utopie fantôme, si je pouvais seulement pleurer. Au lieu de fondre en larme, je me force chaque jour à affronter cette environnement, afin qu'un jour, je puisse le sauver... Et ces expériences m’ont encore permis de voir que je devais une fois pour toute enfermer tous sentiments qui pourraient m’empêcher d’avancer, ceux-là même qui rendent vulnérable les plus grands conquérants. Mais je ne suis pas Alexandre le Grand, ni même César, je ne suis pas un de ses humains qui ont chutés, je suis une personne qui atteindrait les sommets de ces ruines fumantes, pour l’honneur des sorciers.

Hell Narcissa Zaccaria, Serpentard. »

Dans les plus lointains souvenirs de la jeune femme, elle ne s’est jamais vu affublée d’un caractère irritant tant par ses débordements de niaiseries. Ses paroles sont acerbes et virulentes. Lorsque la demoiselle cherche à blesser , elle n’hésitera pas à utiliser une large variété d’insultes et d’expressions ayant le seul but de vous faire sentir aussi bas que terre. Une langue de vipère: on ne peut que lui attribuer cette expression sordide à cause de la vérité éclatante qu’elle laisse paraitre. Pourtant, il ne faut penser que la belle Hell n’est qu’une peste sans cervelle qui ne pense qu’à blesser les gens, au contraire.

Sorcière de sang-pur, issue de la haute aristocratie Anglaise et Italienne par ses deux très chers parents, Hell possède cette moue oppressante et hautaine, ce qui lui donne un charme destructeur bien qu'étrange. Aimer les bonnes choses à toujours était dans sa nature, mais cette caractéristique ne fait pas d’elle une fille superficielle, bien au contraire. Elle porte même un regard méprisant envers les gens de cette catégorie. Mais son statut de sang-pur, ou plutôt appelons cela son ascendance, lui a inculqué quelques valeurs comme le respect de soi-même et une fierté à toutes épreuves. Il est bien connu que la valeur du sang porte un grand intérêt dans le monde Magique, et, comme toute bonne sorcière , Hell y porte aussi un regard critique. Oui critique, mais pas acéré. Elle ne ressent pas d’haine prononcée envers ceux « nés Moldu » ni de préjugé horrifiant sur les Cracmol. Ils existent, voilà tout. Que peut-elle bien faire ? Les tuer ? Non, surtout pas cela. Car dans la conception du monde ensorcelant de la magie de Hell, le cours des choses ne devrait pas être ainsi.

L’existence du bien et du mal est totalement chamboulée dans l’esprit de la verte et Argent car il faut le dire: Zaccaria comme l’appelle souvent ses camarades de peur de l’offenser en prononçant son prénom, a sa propre et unique conception de ce qui doit être accepté ou alors, dans le cas contraire, exterminé. Imprégnée de ses propres règles, Hell décide de qui a le droit d’avoir sa miséricorde ou bien, son châtiment. La sorcière analysera chaque personne qu’elle croise, d’un regard critique et moqueur car, depuis bien des années, les rumeurs et les bruits de couloirs ne font que l’irriter. Chaque individu a le droit selon elle a subir son petit interrogatoire, façon Narcissa Ainsi, dans sa conception particulière du monde, Hell constitue en elle-même une complexité poignante de contradiction. Son regard, qui pourtant vous hurle de fuir, n’est que l’expression d’une tendre envie de vous faire sien. Malgré les dires de la belle en quoi « un entourage n’est qu’un rassemblement d’ennuie plus pitoyable les uns que les autres », la jeune Italienne désire que quelqu’un brise ses lois et ose l’affronter. Car, du haut de son trône incrusté de vices et de péchés, Hell ne reste qu’une princesse torturée par son passé et son âme. Un être vivant tout à fait complexe et détestable.

Mais, vous pourriez vous entêter à la détester, vous ne pouvez que finir par l’aimer. Son intelligence et la vivacité de son esprit fait d’elle l’une des meilleures élèves que Poudlard eut la chance d’accueillir entre ses murs. Et malgré sa tendance a susurrer aux serpents, on l’admira pour ses talents de sorcière. Hell ne fait pas partie des gens qui restent passifs, à attendre que l’heure de vérité arrive: hargneuse et coriace, elle poussera son péché de la curiosité jusqu’au bout, écrasant ceux qui sont sur son passage. Et comme tout bon Serpentard, la ruse est l'une de ses meilleures qualités. Elle n’hésitera pas à écraser certains de ses pions, que l’on peut appeler aussi amis, pour arriver à ses fins, car son but est nette et précis: devenir l’un des plus puissante Auror.

■ APPARENCE PHYSIQUE :

« Bouquin poussiéreux,

Aujourd’hui est une nouvelle journée. Demain en sera encore une. Et ainsi de suite. Depuis combien de temps ces jours, ces semaines, ces mois sont devenus tellement semblable ? Mon reflet dans le miroir me montre ce même visage, depuis tellement de temps. Toujours identiques à celui que j’avais pendant ma septième année. On me dit tellement de fois que je ressemble à cette faible fille que j’étais comparée à maintenant, mais pourtant, tout est différent. Mon regard détient une tout autre lueur, une flamme qui brûle le cœur des hommes, sans aucun regret. Ces hommes se tournent encore sur moi dans la rue, admirant mes formes à faire saliver un saint. J’aime ce pouvoir que je détient sur eux, cette puissance que transpire mon corps. Ils ne sont qu’un troupeau venant nourrir mon plaisir perpétuelle. Je l’ai envoûte d’un regard, d’un mot, et ils deviennent des chiens, obéissant. J’aime ce pouvoir, comme ma personne. Oui, c’est si jouissif.

Hell Narcissa Zaccaria, maîtresse de vos désirs. »

Pourquoi s’embêter avec des mots, fatiguer notre langue inutilement, alors qu’on peut juste user de ses yeux, les poser sur ce corps sans défauts, qui restera d’une si grande perfection malgré les années qui lui feront face. Oui, pourquoi s’embêter de tout cela, les mots ne pourront jamais décrire à la perfection cette beauté à l’Anglaise.

Ses longs cheveux bruns, coiffés toujours d’une manière si sauvage, qui lui donne cette air coquin et joueur à son visage de poupée de porcelaine. Un teint pâle, mais ne lui donnant pas cet air malade de naissance mais plutôt la fragilité d‘un Ange. On admire souvent son regard d’un bleu électrisant, rappelant bien souvent le ciel dans toute sa clarté, ou les eaux les plus claires de la méditerrané. Se plonger dans son regard, c’est se noyer sans aucun moyen pour s’en sortir. Car, derrière ses pupilles perçantes, se cache une âme sombre qui vous vole votre raison. Elle renforce son regard par un trait de crayon noir léger, mais le contour de ses yeux est maquillé d’un bleu pâle, seule touche superficielle chez elle, qui ne fait que rajouter Beauté à un corps céleste. Ses joues légèrement rosées défiant les plus belles peintures, se marie à la perfection à la couleur de ses lèvres pulpeuses, d’un rouge naturellement sanglant. Et son sourire vous ravage, volant à l’homme le plus sage toute raison chrétienne. L’éclat de son rire vous ensorcelle, créant chez vous une dépendance mortelle. Le passage de sa langue sur ses lèvres vous achève, et vous priez pour vous retrouver dans son enfer. Bien des personnes sont complexés par quelque chose chez eux, mais pas elle, pas la belle Hell. Elle aime tout chez elle: de son nez fin et fragile à la longueur démesurés de ses jambes. Sa silhouette imposante par tant de grâce et de légèreté, ses formes alléchante. Est-ce un démon ou un ange, par tant de Tentation, rivalisant par la délicatesse de son corps ?

Cela ne sert à rien de lui dire qu’elle est grande, le simple fait qu’elle vous regarde avec une tête de plus lui fait comprendre. A la première vue de son corps, on pourrait la croire si fragile qu’elle pourrait s’envoler, mais c’est bien le contraire, elle est bien plus résistante qu’on peut le croire. Elle jouit d’un corps sans défaut, à croire qu’elle vient d’une autre planète. Le long de sa colonne vertébrale, on peut y voir un tatouage. De l’italien, dans une écriture ancienne: « Speranza è Peccato », l’Espoir est péché. Histoire de faire comprendre à toutes les personnes qui le voit dans l’intimité qu’il n’y a aucune possibilité de l’enfermer dans la cage de la fidélité. Au moins, les choses sont claires avec elle. Mais la chose la plus sexy chez elle, ce n’est pas son corps, même si celui est très alléchant. Mais c’est son petit accent italien qu’elle a toujours gardé, cette manière de parler un Anglais sans faute, avec une touche poétique de la si belle et prestigieuse Angleterre.

Mais la princesse n’est rien d’autre qu’un Ange Déchue: à travers cette beauté que nous qualifierons de surnaturelle, il règne chez elle une noirceur terrifiante. Sur son passage, l’odeur de son parfum se mêle à celle de la cigarette, bien souvent accompagné par l’effluve amer de l’alcool. Mais qu’on lui pardonne ses péchés, après avoir vu un tel déhanché…

■ HISTOIRE :

Tout aurait pu être si parfait. Une famille heureuse, souriante. Des enfants qui jouaient, sans craindre l’ombre. Oui, cela aurait pu être un rêve éveillé, une véritable utopie. Mais pas dans la famille Rosier. On ne peut rêver de cela quand on porte un nom qui, plus tard, inspira la terreur et la mort.

Florence, Italie.

Alors que la douce brise de Florence balayait la province, une famille aux traits célestes découvrirent leur nouvelle maison. Les Zaccaria était une famille reconnu à travers tout le continent européen. Le père était un prodigieux sorcier, alors que la mère, elle, était une véritable muse, et une réelle œuvre d’art pour les yeux d’un homme alors qu’elle ne faisait qu’attiser le feu de la jalousie dans le cœur des femmes. Il fallait avouer que le mari était aussi objet de convoitise et de jalousie pour de nombreuses raisons: malgré qu’il soit âgé de 40 ans, l’homme paraissait toujours n’en avoir qu’une petite vingtaine par sa vitalité et ses yeux pétillants, et sa magie était dès plus puissante. Mais Erza, son épouse, était aussi source de nombreux bruits. Comme une femme n’ayant à peine 20 ans pouvait épousé un homme aussi âgé, même si sa beauté ne reflétait pas son âge ? On ne cessait de dire qu’elle l’avait épousé pour l’argent et la gloire, alors que la vérité n’était tissé que par un amour sincère entre les deux personnes. Originaires d'un pays au nord de l'Italie, la famille emporta leurs nombreux biens dans la botte de l’Europe par l’envie d’un père. Il ne cessait de répéter à sa tendre et jeune épouse que c’était en Italie, que la magie noire grandissait . Lassée par la vieillesse de son époux et de par son envie de tranquillité, elle quitta famille et amis pour venir dans la douce Italie et ainsi réaliser le rêve de son tendre Alexander. Et en un instant, le couple Bàthory fut le plus célèbre de la ville puis du pays. On s’arrachait leurs présences aux banquets, expositions, on ne parlait que d’eux, de ce couple si beau, si cultivé et si admirable. Et à chaque sortie, le peuple italien ne faisait que demander quand la belle Erza donnerait naissance à des enfants héritant de la beauté de cette famille hors du commun.


C'est ainsi que commença l'épopée de la famille Zaccaria, il y a bien des siècles. Par l'envie de découvert d'un vieux fou qui voulait voir le monde. La famille se séparèrent dans tous le monde et, la petite demoiselle, Eliana, elle, vécut en Angleterre. Comment ? Voici son histoire..

-Félicitation, c’est une petite fille, annonça le médecin. On ressentait rien qu’à son intonation qu’il avait répété cette phrase des tas de fois, et pourtant cette fausse joie paraissait toujours aussi naturelle.

-Emmenez la loin de ma femme. Elle a besoin de repos et non pas de supporter ces cris, répliqua d’une voix sèche ce charmant mais sinistre François Zaccaria.

Voilà comment tout avait commencé. Sa vie dès le début n’avait pas eu le moindre soupçon d’amour, ceci n’était qu’une vaste blague à l’échelle de l’humanité. Personne ne désirait voir ses larmes, ni entendre ses cris qui ne traduisaient que sa peur de ce nouveau monde, si différent de son ancien environnement. Personne ne désirait la voir, ni même l’aimer, personne sauf lui.


Le médecin ne se choqua même pas de l’attitude du Zaccaria, il ne désirait que rentrer chez lui et les laisser. Alors il apporta l’enfant dans une chambre au loin, ne remarquant même pas que ses pleurs avaient cessé. La pièce n’était même pas décoré pour l’arrivé d’un enfant, mais qui pouvait bien s’en soucier. Il posa l’enfant dans un lit, encore une fois sans un regard, et sortit de la pièce, fermant la porte derrière lui. Pourtant, à peine quelques secondes plus tard, cette même porte se rouvrit, pour laisser entrer un homme aux allures d'enfant. Il marcha silencieusement jusqu’au berçait où l’enfant dormait paisiblement pour lui caresser la joue, ses lèvres étiraient dans un sourire tendre:

-Bienvenue Hell, ma très chère Hell.

Sans autre forme de procès, il venait d'annoncer sous quel surnom on l’appellerait dans le futur. Il n'y avait que lui qui choisirait et imposerait son choix. Le silence lui répondit, ne laissant entendre que la petite respiration du nourrisson. Alors il se mit à rire:

-Tu verras, ce monde n’est pas aussi sombre que tu pourras le penser quand tu seras en âge de comprendre. Et je serai là, dans ton ombre, à te protéger et à te montrer le paradis qui te correspond.

Et sur ces douces paroles, le jeune garçon posa un tendre baiser sur le front du nouveau-né. Il ne s’agissait que de Sven Zaccaria, son grand frère. Celui qui pourrait, par le futur, se vanter de l’amour intarissable qu’il bénéficiait de sa sœur.

La famille Zaccaria a toujours été connu dans le monde mystérieux de la sorcellerie. Le chef de Famille, François Zaccaria, Italien de son état avait fait ses études à Poudlard après le rapide et intriguant déménagement de la famille aristocrate. Durant ses années dans l’école de magie, il rencontra sa femme, Elisabeth Rockwood, mariée Zaccaria, et fila un parfait amour, bien que souvent controversé. Et pour rajouter à cette idylle burlesque une touche de poésie, tous deux appartenaient à la même maison: Slytherin. C’était comme une tradition dans la famille Zaccaria associé aux Rockwood: chacun de leurs membres allaient à la maison des Serpents, où se retrouvaient les sournois et les rusés. Rockwood et Zaccaria partageaient un autre point en commun à ne pas renier: leur sang pur. D’une extrême richesse et d’une grande autorité sur le monde magique Italien, on ne pouvait oublier cette famille sombre. Car oui, leur succès était aussi du à une étrange rumeur: on disait que la famille Rosier avait hérité d’une folle passion pour les arts sombres que recelait la magie. La magie Noire, en d’autres mots. Mais cela était entendu par ceux qui le voulaient, bien qu’elle soit une triste vérité.

La naissance de Hell n’était, en réalité, pas réellement désirée. Sven, leur très cher garçon, était déjà en liste pour devenir l’héritier de la fortune et de l’empire Zaccaria. Alors, la petite Narcissa n’était pas vraiment en fonction dans cette famille sans amour. Mais pourtant, au fur et à mesure que la petite princesse grandissait, elle fut bercée par l’amour tendre de sa mère et de son frère et les remontrances sévères de son père. La violence de ses paroles équivalait facilement un poignant: « ton existence m’exaspère. », mais la petite fille survola rapidement ce manque affectif par la chaleur du sourire d’Elisabeth et de Sven. Lorsque le brun ténébreux fit son entrée à Poudlard, il reçut la fierté et la joie de leur père: c’était si rare que la petite Hell pensait qu’il n’en était, en réalité, incapable. Suivant la tradition familiale, Sven Zaccaria fut attribué à la maison des Verts et Argent, à la plus grande satisfaction de la famille.

C’est seulement à l’âge de 7 ans que Hell découvrit ses pouvoirs. Comment ? Durant une belle soirée d’été, où l’année de cette événement n’apporte aucune importance à l’action, la princesse Zaccaria mit le feu à sa pauvre poupée de chiffon qu’on venait de lui offrir. Rire et joie de sa mère, qui l’étouffa de compliment. Elle était bien une sorcière, et non une Cracmol. Mais même à cette nouvelle, son père ne prêta pas d’importance à son unique fille. Soit, elle n’en n’avait plus besoin. De toute manière, l’amour d’un père était superficiel. L’été de ses 11 ans arriva, et la lettre de Poudlard aussi. A son tour, elle fit son entrée dans le monde magique.

Même si l’événement ne tient pas une grande importance, il a tout de même marqué le petite fille: la cérémonie de répartition. La grande salle était bondée d’élève, et toute frêle qu’elle était, Hell s’avança vers le Choixpeau. Seul le regard tendre et affectueux de son frère à la table des Serpentards la rassura. Puis ce fut le temps d’une longue et torturante décision:

-Tiens ? Une Zaccaria ? Etrange… commença le Choixpeau. Je croyais pourtant que la tradition amenait chaque membre de votre famille à Serpentard, pourtant toi… tu es différente…

Le corps de Hell se crispa. Non, elle décevrait sa famille si elle n’allait pas à Serpentard !

-Un choix difficile que tu m’imposes là, jeune sorcière. Tu ne connais même pas toutes tes capacités… Serais-tu son héritière ? Tu as pourtant de grands pouvoirs, trop grand… Serpentard t’emmènerait vers un chemin sombre… Gryffondor pourrait te hisser vers les sommets….

Hell vit le regard inquiet de son frère, ainsi que les rires de ses camarades. Si il la mettait chez les rouges, elle serait la honte de son frère… Ca jamais… Elle ne le se pardonnerait pas !

-Décide toi, Choixpeau ! Cria-t-elle sous le regard choqué des autres élèves. La pression et l’attente lui fit perdre son calme.

-Bien, bien… Tu iras à SERPENTARD !

Et de cette soirée là, elle ne se rappelle plus que les applaudissements et les étreintes chaleureuses de son frère. Ainsi qu’une phrase, qui à l’époque, l’effrayait… « Tu ne connais même pas toutes tes capacités… Serais-tu son héritière ? »

Eliana n'avait jamais vraiment aimé sa maison. Mais au moins, elle ne faisait pas honte à son frère. Et malgré les apparences, elle restait une fille courageuse et forte, qui aidait les ordres. Bien que son esprit et sa capacité à manipuler les autres font qu'elle reste une vraie serpy.

■ JUSTIFIE TON CHOIX DE MAISON : Serpentard; maison des rusés. Les termes qui qualifient cette maison s'accorde tout à fait à la demoiselle, mais en réalité, elle n'est pas comme les autres: son coeur bat au son des gryffi, mais son âme reste Serpy. Elle veut protéger ses amis et aider à vaincre les forces du mal qui les menacent. Beaucoup de Rouges savent quelles sont ses positions et la soutiennent. Car la puissance magique de la jeune femme peut leur être d'une grande d'aide. Mais elle reste verte dans l'âme car son don pour manipuler les autres fait d'elle une vraie Slytherin. Et il ne faut pas trop la provoquer: à vos risques et périls !

■ DANS QUEL CAMP EST-IL LE PLUS APTE À SE POSITIONNER? Celui des bons, qui oeuvrent pour le bien être: l'armée de très cher directeur, et pourquoi pas un jour: l'ordre du Phénix...

■ PRÉNOM/PSEUDO :

■ ÂGE : 18 ans

■ EXPÉRIENCE EN RP : 4 ans

■ COMMENT AS-TU DÉCOUVERT School-of-Poudlard? Partenariat ♥

■ CODE DU RÈGLEMENT : Ok by Bella

■ AUTRE : Auncun ♥