« Alors ? Alors rose ou bleu ? Katherine ? Rose ou Bleu !!? » « Rose…Rose et Bleu ! » « Deux ? Deux enfants ? » Ce fut la première fois dans toute sa vie que Monsieur Wellington tomba dans les pommes, il ne c’était déjà pas préparé a l’idée d’avoir un enfant, mais en avoir deux, fille et garçon, c’était vraiment trop d’émotions pour lui. Mme Wellington, elle fut ravie d’avoir deux petits tête brune a pouponnée, elle avait toujours rêvé d’avoir des jumeau, mais elle aurait aimée le savoir tout de même. C’est ainsi qu’est née Isaac Emmerich Wellington, et sa sœur Iris Analyse Wellington, deux jumeau dans une famille ou ils sont rares ; les deux enfants dès leurs naissances on toujours été différent ; Iris était la sagesse née, elle avait toujours été très calme, vraiment a cheval sur les principes alors que Isaac était un peu le clown de service, celui qui aime bien enfreindre quelques règle et embêté les gens. Mais il y avait une chose sur laqué il était sérieux, l’amour familial ; lorsqu’il eu quatorze ans, un été sa mère était peu présente, alors qu’elle restait toujours avec eux lors des vacances scolaire ceci avait éveillé la curiosité de Isaac « Iris on peut parler ? » « Oui qu’est-ce qu’il y a ? » « Bah, je suis presque sur que maman as une aventure ! » « T’est malade ! Maman n’as pas d’aventure, tu regarde trop de télénovela moldu » « Alors comment t’explique qu’elle rentre a l’aube ? Qu’elle nous cache des choses ? Et que papa ne lui parle presque plus ? » « Sa s’appelle les adultes okay ? Ils font des choses qu’on peut pas comprendre, et il ont leurs raison, maintenant laisse moi, je doit terminer mes devoirs de potions » « C’est les vacances » « Sors de ma chambre s’il te plait » Isaac ne se trompait que très rarement surtout au sujet de sa mère, elle était vraiment trop distante avec les membres de la famille pourtant, elle restait aussi admirablement aimante envers chaqu’uns tout les jours avant de partir on ne sait ou, elle laissa un petite mots sur chaque table de chevet des habitants de leurs maisons, en leurs rappelant a qu’elle point elle les aimaient et a quel point elle était fière d’eux, qu’importe leurs choix . Des attentions vraiment trop louches pour Isaac, mais un jour de l’année 1994, alors que les enfants jouaient à l’étage, Mr Wellington les appela sur un air solennel « Iris, Isaac, Isobel… Il faut qu’on parle » « Je le savais, vous allez divorcer c’est sa ? Iris je t’avais dit que maman trompait papa du voit, c’était cousu de fils blanc » « Isaac, ta mère ne m’as pas trompé … Il y a trois mois votre mère a décidé de rejoindre l’ordre du Phoenix, mais… Elle a pris une mission trop a cœur… » « Maman vas bien papa hein ? Elle va bien ? » « Votre mère as été transporté a St Mangouste, dans un état critique hier, elle a subit plusieurs sortilège Doloris, et ces facultés mentales on été touchée » « Comment sa ? Comment sa touchée ? » Deux mois était passée, deux mois sans que leurs mères ne puisse rentre chez elle, les enfants pour voir celle qui leurs avait donné la vie, était forcée d’aller au service des soins du cerveau a l’hôpital st Mangouste, pas top pour les réunions de famille « Maman ? Maman tu vas bien ? » « Oh Iris ! Comme tu as grandit ! Alors ma chérie me père noël ta bien gâté cette année non ? » « Oui, oui il a été très généreux, tu vas bien ? » « Bien sur que je vais bien ma chérie, mieux que jamais. Dis moi il est ou ton frère ? Encore entrain de jouer avec Erable hein ? » « Erable est mort il y a dix ans… Vous savez quoi c’est ridicule, elle sait même pas que je suis son fils, j’ai rien a faire ici » Contrairement a ce que les gens auraient pu pensée, Isaac ne se plongeant dans la méchanceté pour oublier sa tristesse non, Il était vraiment en colère, sa mère avait fait passer les intérêts de personnes inconnue avant ceux de sa famille, il n’en voulait pas a l’ordre du phœnix ni même a aucuns de ces membres, non, il en voulais a sa mère, de leurs avoir mentir et de les avoir abandonné. Depuis ce jour Isaac était devenue de plus en plus irritable, chaque phrases qui sortait de sa bouche était des sarcasmes ou des blagues qui ne fessait rire que lui, il fessait en quelques sort le deuil de sa mère par la colère, comme il ne pouvait plus blâmer sa mère, qui avait esprit trop étroit pour le moindre commentaire, Isaac reporta ces frustration sur tout les autres personnes qu’il rencontrait « Excuse-moi ? » « Hein ? » « Je peux m’assoir ici ? C’est vide non ? » « Oui effectivement c’est vide, mais je n’ai pas envie de voir ta tête durant tout le trajet désolé… » La seule personne a qui il avait envie de parler était une jeune fille, enfin non, c’était la jeune fille Pampinea Minerva Donaldson, elle qui fut sa confidente, sa maitresse, son amie, tout pour lui, et qui maintenant ne lui adressait même pas un regard. Il y avait toujours ces sœur, mais Iris lui disait toujours que ce n’était pas en étant méchant avec les autres, que les choses s’améliorerais, et sa petite sœur Isobel, qui entrait en troisième année a Poudlard, était trop occupé a pensée au garçon pour avoir une vrai concertation avec lui.