■ PRÉNOM(S) : Pampinea Minerva Anne mais tout le monde l'apelle Mini pour faire court, sa mère l'appelle blondinette. ■ NOM(S) : Donaldson ■ ÂGE : Seize ans ■ FRÈRES/SOEURS Mini as un grand frère de 24 ans, et une petite soeur de 12 ans. ■ ORIGINES & ASCENDANCE : Mini est née dans une famille de sang purs Ecossaise, mais elle est née en Irlande pendant un des voyages de ces parents. ■ ANNÉE D'ÉTUDES : Sixième année ■ MAISON SOUHAITÉE : Serdaigle ■ COMPOSITION DE LA BAGUETTE : De petite taille, à peine dix-huit centimètres et pour être précis, 17,8 cm, la baguette de Mini est constituée de bois de Saule, ce bois représentant la course de l'astre lunaire, les mouvements changeant, et elle contient étrangement un crin de licorne mêlé aux larmes d'un phoenix. Baguette un peu capricieuse, mais parfaite pour les sortilèges de par sa souplesse.
ft. FREYA MAVOR
« AINSI SOIS-JE »
■ CARACTÈRE : Minerva est l’artifice même. Elle ne se sent pas parfaite, loin de là. Néanmoins, elle sait tirer avantages de ses propres défauts, tout en respectant sa place dans la hiérarchie - ou du moins ce qu’il en reste - de l’école. En effet, derrière ce visage candide se cache une toute autre chose. Et pour cela, elle combine l’art de la discrétion et de la manipulation, comme peu de personne dans le coin. La jeune femme ne croit qu’une seule chose : son instinct. Pour elle, les hommes sont libres de faire leurs choix - d’ailleurs elle a déjà fait le sien - ils ne possèdent pas vraiment de destin (en dehors de celui de mourir). Elle n’aime pas être dans la peau du mouton qui se sent perdu dès le moment où il n’est plus au sein de son troupeau. Non, elle n’est pas de ceux-là. La demoiselle aime réfléchir et prendre ses propres décisions. De plus, sa définition d’ « influencer » diffère de celle que vous connaissez tous. De son côté, elle serait plutôt du genre à donner des conseils, si vous voyez de quoi je parle. D’où une manipulation quasi-constante. Comment ça elle joue avec les mots ? Que nenni. En outre, je tiens à vous prévenir : évitez de la contredire ou même de lui faire une quelconque remarque qui pourrait s’avérer désobligeante à son égard ou envers une personne qui lui est proche.
Minerva peut s’avérer utile car elle est plutôt de ceux qui savent utiliser leur charisme dans le but de parvenir à leur fin. D’où la nécessité de faire un choix de clan rapidement quelques années auparavant. En effet, elle possède un réseau social assez dense au sein de l’école. Cependant, Minerva aime garder ses distances avec les autres élèves, sauf en ce qui concerne les « membres » de son cercle d’amis. D’ailleurs, au bout d’un moment, vous pourrez constater que pour la demoiselle, le mot « ami » possède un sens beaucoup plus restreint que celui donné par le dictionnaire : oui, elle aime bien s’approprier les mots, s’en donner leur propre définition. Elle aime nuancer, c’est tout. Il faudrait peut être faire un peu attention au début, mais vous aller finir par la comprendre, la cerner cette petite. En plus d’être nature impulsive - où elle sait se montrer parfois un peu trop franche et un peu trop blessante - Minerva est une personne très loyale. Néanmoins, soyez sûr (et donc rassuré ?) d’une chose, elle n’aime pas vraiment la violence physique, si elle rencontre le moindre problème avec vous, la jeune femme vous méprisera pendant un bon bout de temps : jusqu’au moment où elle s’ennuiera et finira par se lasser de vous. Bref, ça fait déjà pas mal de caractéristiques, mais il en reste au moins deux dont la jeune brunette fait appelle sans trop le savoir. Comme tout le monde, la jeune sorcière à son petit truc inné. En tant que grande prêtresse de la flemmardise, Minerva plante rarement son nez dans un livre afin de réviser. Elle a été dotée d’une mémoire phonétique ainsi que d’une mémoire visuelle lors de sa conception. Ainsi, à la veille des examens, la jeune femme profite de l’absence des autres afin de s’aérer l’esprit. Nonobstant, elle préfère toutefois ne pas s’étaler sur le sujet et s’en vanter. De plus, la jeune femme se montre de temps à autre, un brin calculatrice. Entre nous, qui n’a jamais eu ce besoin de réussir, de ne pas voir l’échec se profiler à l’horizon ?
■ APPARENCE PHYSIQUE : '' On m'a toujours dit que j'étais jolie, mignonne, je ne sais quoi d'autre, mais jamais que j'étais belle, vraiment belle. J'étais le plus harmonieux des mélanges, selon ma mère, qui ne savait pas du tout de quoi elle parlait. Je ressemblais à une petite poupée quand j'étais enfant, et j'avais toujours voulut ressembler à une grande poupée plus tard. Mais je ne suis que mignonne. Que mignonne et rien d'autre. Mais avouez tout de même quand je souris, je suis jolie, pas vrai ? ''
Comment pouvez-vous expliquer que certaines personne soient belles et d'autres non ? Qu'est-ce qui définit réellement les normes de la beauté ? Cette fille qui traverse la rue, cette blonde que vous appelez votre femme, cette gamine aux boucles blondes que vous n'avez jamais aimée pour ses blagues et ses bêtises ? Oui, celle-là. La jeune fille qui gambade littéralement dans la rue, mais qui, parfois, regarde derrière elle d'un air inquiet avant d'éclater de rire devant sa propre peur. Oui, celle-là. La trouvez-vous jolie ? La trouvez-vous mignonne ? Ses yeux bleus brillants ne vous font-ils pas fondre comme ils le font avec le commun des mortels ? Sachez-le, les yeux de cette belle enfant sont une partie intégrante de son succès. Deux brillants dorés qu'on aurait placés au milieu de traits quelconques et sous une frange de boucles éclatantes, comme pour signifiez que derrière cet air rieur se cachait un être... rieur, tout simplement. On dirait que la commissure de ses lèvres est ensorcelée, que chaque parole qui sort de sa bouche doit faire naître un sourire. Regardez encore une fois la jeune fille aux boucles blondes. Ses boucles, elle les vénère presque comme elle peut vénérer le rire, ses boucles chéries qu'elle coiffe avec une application de moldue pure et simple. Bien sûr, ce ne sont que des cheveux, de simples cheveux. Et ses yeux. Voyez ses yeux. Ne sont-ils pas brillants d'humour et de sincérité ? Ces yeux qui ne pleurent jamais tant ils sont habitués à consoler les pleurs d'un rire. La jeune fille que vous avez devant vous, vous ne la connaissez pas, du moins pas très bien, et son visage ne restera pas à jamais dans votre mémoire comme le serait celui d'une véritable « belle » personne. Ses traits sont peut-être harmonieux, ses sourcils sont peut-être fins, mais ses lèvres sont un peu trop pleines, un peu trop roses, et son teint est pâle, presque trop. Elle est mignonne, sans plus. Grande, élancée, mais pas athlétique. Quand elle rit, et croyez-nous qu'elle rit souvent, ses joues blanches se creusent de deux petits fossettes. Cette fille, elle porte de jolis vêtements, qu'on dirait neufs tant ils n'ont pas été portés souvent. Elle ne se maquille pas, même si elle affirme jour après jour qu'elle en aurait probablement besoin. Ses oreilles sont percées, mais elle ne porte pas de bijoux.
■ HISTOIRE :
Dans la vie il y a deux type de personnes ; ceux qui viennent au monde pour faire quelques choses, et ceux qui viennent au monde pour servir quelques chose. Pour ma part je suis venue au monde pour faire quelques choses, quelques choses d’aussi extraordinaire que moi. Vous vous dites que c’est prétentieux de ma part de m’avancer comme sa ? Je trouve pas, mon père m’as toujours dit que la pire et la meilleure chose chez moi, c’était mon aptitude a savoir ce que je veux et a tout mettre en œuvre pour l’avoir.
Irlande, 17 décembre 1981. Alors le 17 décembre, à la Clinique Sainte Rose. Minerva décida de montrer le bout de son nez, de son si joli nez. On va dire que dés son arrivée elle voulu se faire remarquer ce n’est qu’après dix huit heures de travail que Minerva laissa sa mère se reposer un peu. Enfin ce fût de courte durée avec son père qui était aux anges et n’arrêtait pas d’embrasser sa mère pour la féliciter pendant que Nany sa grand-mère du côté de son paternel faisait les cents pas dans le couloir. Une fois toute belle elle eu le droit à des flashs qui l’éblouissait alors que elle était à peine née deux heures auparavant. Nany n’arrêtait pas de répéter que elle était magnifique ce qui était vrai. Elle avait déjà appelé sa banque pour débloquer l’argent qu’elle avait épargné pendant des années pour ses futurs petits enfants quand à sa mère elle se regardait avec des yeux si beaux et pétillants. Cela se voyait vraiment qu’elle avait rêvé d’avoir une si belle petite fille. Elle était déjà un magnifique bébé, Minerva se souvient aussi d'un autre regard, un regard admirateur, celui de son grand frère Clayton, certes elle était un bébé, sais j’aurais jurée voir une larme sortir de ces yeux. Sa mère décida de l’appeler Pampinea, car elle avait toujours été fan du roman de Boccace, le Décaméron. Et son père voulait qu’elle ait un prénom qu’elle puise porté tout au long de sa vie, et quelques choses qui lui rappelleraient toujours des souvenirs, alors il l’appela Minerva.
Après tous ces événements nous sommes rentrés au manoir. Mon père, ma mère, Clay ,et moi. C’est dés lors que ma vie commença, une vie pour l’instant égale à un conte de fée. Si on considère qu’être dés le berceau élevait par un seul parent. Mon père passait du temps avec moi mais seulement le dimanche et encore c’était surtout parce qu’il organisait leur brunch pour nous et ses amis. Je n’ai jamais très bien compris le fait d’exposer au monde son argent, montrer chaque nouveau service, acquisitions technologiques…et. Je ne maquais de rien sauf de l’amour de mes parents qui n’étaient jamais là. Je fus une enfant assez facile, enfin avec mon père, nos liens on toujours été plus facile, il cautionnait tout mes petites folies et toutes mes petites lubies de gamine. Il permettait le fait que je refusais de manger de la viande, le faite que n’aimais pas dire maman ou papa. Ma mère aimais souvent dire que j’étais une simple petite fille, c’était selon mon père, le fait d’être simple était un compliment pour ma mère, pour moi tout au contraire c’était une insulte, quelques choses de méchant. A mes cinq ans un drame enfin j’exagère peut être arriva dans ma famille maternelle mon grand père mourra d’une crise cardiaque .Je ne voyais déjà en lui qu’une manière facile d’obtenir de l’argent parce qu’à ma naissance mes grands parents maternelle m’ouvrirent aussi un compte. Ma mère fût totalement bouleversée par la mort de son père ce qui lui inspira étrangement l’une de ces meilleures lignes. Après une enfance dorée toujours habillée à la dernière mode, c’est d’ailleurs moi qui lançais déjà la mode dans la cour de récréation où j’étais d’ailleurs la première en classe. Je faisais déjà envie à tous les petits gosses de riches. Je dessinais déjà comme un chef. C’est six ans après ma naissance que ma mère nous annonça une nouvelle ; elle avait décidé de quitter mon père et d’aller s’installée avec un homme nommée, Ebel Lowell, qu’elle clichée sachant que cet homme était le facteur. Mon père le prit plutôt bien, en apparence mais je savais que cette nouvelle lui avait complètement abattu. Mon frère qui avait alors huit ans décida d’aller vivre avec ma mère et cet homme, ce moldu, et moi je décidais de rester avec mon père.
Près d’un an après que ma mère nous ai annoncé qu’elle quitté ait mon père, une lettre arriva chez nous, enfin chez mon père et moi, pour nous annoncé que nous étions invité au baptême de Mélisande Léonie Lowell, ma demi sœur. La nouvelle m’avait dégouté, je détestais savoir que ma mère, avait fait un enfant avec ce type, en plus elle menaçait le secret de la famille, et si l’enfant était une sorcière ? Et si elle allait à Poudlard avec moi ? Sa ruinerais la réputation de mon père, je priais donc toutes les nuits, pour que cette enfant n’ai aucun pouvoir. Mon père était allée au baptême de Léonie donc, il lui avait même prit un cadeau, histoire de montrer qu’il n’avait pas de rancœur pour ma mère, moi j’étais restée avec ma grand-mère, je n’étais pas une hypocrite, je ne voulais pas allez voir l’enfant de ma mère, et faire semblant d’être heureuse alors que ce n’étais pas le cas. Le jour des baptêmes une autre mauvaise nouvelle allait arrivée ;
Ecosse, 31 mars 1986. « Tu vas où ? »« Au baptême de ta petite sœur, tu veut venir ? » « Non » « Je te laisse pas toute seule Mini ! » « Mamie va venir me garder, je lui ai envoyé un hibou ce matin ! » « Tu sais c’est la meilleure et la pire des choses chez toi, quand tu veux quelques choses tu le fait sans t’occupé des conséquences » « Et en quoi c’est mal ? » Son père l’embrassa sur le front avant d’ouvrir la porte, avant de sortit il se tourna vers sa petite fille et lui dit « Tu verras quand tu sera grande Princesse , je t’aime Minichou » « Je t’aime papa » Il ferma la porte et monta dans sa voiture, la jeune fille lui fit un grand sourire et lui fit un au revoir de la mains, elle couru dans la salle ou elle avait entendu un boom, c’était sa grand-mère qui venait d’arrivé, elle avait toujours eu du mal a transplanter, la jeune fille l’aida a se révéler. Elle avait de vagues souvenirs de cette journée, elle savait qu’elle avait passée toute l’après-midi a faire des dessins et des cupcakes pour le retour de son père, lorsqu’une lettre arrivé par Hiboux chez eux. La grand-mère de Mini ouvrit la lettre, et fondi en larmes, elle serra la jeune fille contre elle et lui dit « Il va falloir que tu soit forte Minerva ».
Mon père était mort dans un accident de voiture, il avait voulu acheter des falafel pour le diner, c’était l’unes de choses que je préférait depuis notre voyage en Israel. Mes grand parents ont décidé de me confier a ma mère, je me dirigeais vers ma nouvelle vie, je n’étais pas impatiente de vivre en Angleterre avec ma mère, et son mari, ce sale moldu. D’accord je n’avais rien contre les sang-purs ou les moldu, je n’étais pas une personne contre ce genre d’individus, mais je ne voulais pas que les sang-purs ce mélange. C’était un gauchi pour moi, et le faite de savoir que j’allais avoir à partager ma chambre avec cette sang-impurs, sa me donnait une extrême envie de vomir. Le taxi arriva devant chez ma mère, je descendis le cœur lourd, pourquoi ma grand-mère n’avait elle pas pu me prendre ? J’aurais au moins été a ma place chez elle, mais ici pas trop. Je me souviens avoir vu ma mère courir et me prendre dans ces bras, puis mon beau-père m’avait fait un grand sourire de bienvenue, un sourire que je ne lui avais pas rendu bien évidement. Et la elle est arrivé en tenant la main a mon frère, cette sale petite rousse, je levai les yeux au ciel, elle avait osée me faire un dessin en plus, comme si un dessin pouvait m’enlever cette douleur.
Trois ans après avoir perdu mon père, ma mère entra dans ma chambre avec un immense sourire, elle avait une bonne nouvelle a m’annoncée encore une fois, quoi ? Me dire qu’elle était de nouveau enceinte d’un immonde bavard ? Non merci, je l’avais regarder un sourcil arquer pour savoir ce qui la mettait d’aussi bonne humeurs, mon frère était entrée avec un gâteau a la crème glacée, ou il y était écrit «
Ecosse, 1 septembre 1991. « Miniiiiiiiiiiii !!! Il est dix heure chérie ! On va être en retard » Mini se leva de son lit en murmurant tout un tas de jurons contre sa mère, elle savait très bien que le train ne partait pas avant deux heures et qu’ils habitaient à moins de dix-minutes de la gare. Enfin en vérité il habitait a une heure de la gare, mais grâce a la poudre de cheminette il gagnait près d’une heure en atterrissant près d’un bar sorciers non loin de la. Une fois que tout le monde fut prêt, Lysandre, Clayton & Minerva se dirigea vers la porte lorsque quelqu’un couru dans l’escalier en criant « Moi aussi je veux venir avec vous » C’était Léonie, qui avait toujours rêvée de traversé les cheminée comme son frère et sa sœur, alors que sa mère ce dirigea vers Léonie pour lui expliqué qu’elle ne pouvait pas venir, Mini la regarda et lui dit « Désolé ce n’est pas faire pour les moldu, ni les sangs-impurs… » « Je suis A négatif ! » « T’est pathétique Léonie » Mini attrapa une poignée de poudre de cheminette et la jeta dans la cheminée, quelques minutes plus tard, elle arriva dans ce fameux pub, suivit de sa mère et de son frère, sa mère l’attrapa par le bras et lui dit « Il faut que tu arrête de parler comme sa a ta sœur d’accord ? » « Premièrement j’aimerais que tu lâche mon bras, deuxièmement, cette petite sang-impurs et peut être ta fille, mais ce n’est pas ma sœur et … » sans même qu’elle puisse terminer sa phrase sa mère avait déposé sur sa joue, une gifle, peut être la seule que Mini avait reçu de sa vie, la jeune fille eu un petit rictus, et elle lui dit « Et toi t’est plus ma mère. » Elle tourna les talons et monta dans le Poudlard Express. Un sourd bruit annonça que le train était près à partir, la porte du wagon ou se situait Minerva s’ouvrit elle vu son frère entrée, dans un uniforme rouge et or, elle passa une main dans ces cheveux et lui dit « Tu viens me faire la moral ? » « A quoi tu joue Mins ? Être odieuse avec les gens ne ramènera pas papa, tu sais ce que tu deviens ? Le clichée d’une pauvre fille qui croit qu’être méchante l’empêchera de souffrir » « Oh ça va ! Tu me soul avec tes histoire okay ? Je ne suis pas méchante, je dis juste au gens ce qu’ils des vérités, c’est pour sa que sa les blessent… » « Léonie ce n’est pas tout le monde, c’est notre petite sœur » Mini haussa les sourcils, et regarda son frère sortir du wagon, elle sortit de son sac ces habits a sorciers et se changea. Quelques petite heures plus tard, le train s’arrêta dans la gare du Près-au-lard. La jeune fille descendit du train, et se dirigea vers le château comme tous les autres élèves de première année. Un dame leurs expliqua qu’ils allaient être répartit, ils entrèrent dans la salle sous les regards des autres élèves, la jeune fille eu la chance de passée dans les vingt premiers puis elle arriva devant le choipeaux ; elle s’assit et on luit posa le choipeau sur la tête, elle n’eu pas vraiment de réaction lorsqu’on lui mit le choipeau sur la tête, elle souhaitait juste qu’il l’envoye soit a Serdaigle.
« LE CÔTÉ MAGIQUE DE LA CHOSE... »
■ JUSTIFIE TON CHOIX DE MAISON : « Si vous êtes sage et réfléchi serdaigle vous accueillera peut-être. Là-bas, ce sont des érudits qui ont envie de tout connaître. » — Extrait d'une chanson du Choixpeau magique
Mini as peut etre un caractère fort et digne d’une jeune fille de serpentard, mais sa grand intéligente, et le faite qu’elle place les études avant beaucoup de chose, font qu’elle a sa place a serdaigle, même si pour quelques raisons évidente ma jeune fille ne s’entendra forcement pas avec ces camarades, elle sait qu’elle sera bien dans cette maison, parceque au fond, elle sait qu’elle peut y rencontrée des gens avec la même personnalité qu’elle – ou pas ?
■ DANS QUEL CAMP EST-IL LE PLUS APTE À SE POSITIONNER? Minerva est plutôt du coté de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcé-ne-nom, parce qu’elle pense que le monde magique aurait bien besoins d’un coup de balai, il y a forcement celons elle, des gens inutiles qui pourrait être supprimé ou même qu’on pourrait mettre a une place inferieur a celle que les sorciers, les vrais sorciers occupe a l’heure actuel. Mais pour l’instant elle écoute plutôt ce qui se dit entre les partisans des deux camps et ce fait une petite idée d’où elle va allée.
« LE MODLU DERRIÈRE L'ÉCRAN »
■ PRÉNOM/PSEUDO : Colorful.Dinosaur ■ ÂGE : 18 ans ■ EXPÉRIENCE EN RP : Près de trois ans ■ COMMENT AS-TU DÉCOUVERT School-of-Poudlard? Google =) ■ CODE DU RÈGLEMENT : OK C.M ■ AUTRE : J'aime beaucoup le désign =)
Dernière édition par P. Minerva Donaldson le Jeu 21 Avr - 13:15, édité 8 fois
Angel M. Davidson
ϟ MESSAGES : 451 ϟ GALLIONS : 460 ϟ DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2010 ϟ CARTE DU MARAUDEUR : Là, ou personne n'aura idée de me chercher.
Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Mer 20 Avr - 20:54
Bienvenue sur le forum et bonne continuation pour ta fiche!
Drago L. Malefoy
ϟ MESSAGES : 939 ϟ GALLIONS : 1032 ϟ DATE D'INSCRIPTION : 21/07/2010 ϟ CARTE DU MARAUDEUR : Derrière toi ...et retourne toi vite
~ Le passe-partout du sorcier Mes relations : Composition de la baguette: Aubépine, crin de licorne et 25 cm Mes envies de sorcier :
Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Mer 20 Avr - 21:40
Je te re-souhaite la bienvenue tout de même . Bonne continuation pour ta fiche :Coeur2:
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Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Mer 20 Avr - 22:33
Bienvenue parmi nous ! ~
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Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Jeu 21 Avr - 9:01
Bienvenue
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Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Jeu 21 Avr - 13:50
Merci mes chouuux :Main: Je pense avoir fini (enfin xD c'est un grand mot lol) enfin j'ai toujour cet horrible doute sur le code mais bon =)
Drago L. Malefoy
ϟ MESSAGES : 939 ϟ GALLIONS : 1032 ϟ DATE D'INSCRIPTION : 21/07/2010 ϟ CARTE DU MARAUDEUR : Derrière toi ...et retourne toi vite
~ Le passe-partout du sorcier Mes relations : Composition de la baguette: Aubépine, crin de licorne et 25 cm Mes envies de sorcier :
Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Jeu 21 Avr - 14:03
Non le code est bon x) Je valide ta fiche, il ne reste plus que le passage du choixpeau. Pour toute question, ou aide les admins sont là pour toi et notre boite à MP sera toujours ouverte. N'oublie pas de recenser ton avatar ici Amuse toi bien parmis nous !
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Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Jeu 21 Avr - 14:19
Mercchiiiiiiiiiiiiiiiiii :2436:
Choixpeau Magique
ϟ MESSAGES : 165 ϟ GALLIONS : 221 ϟ DATE D'INSCRIPTION : 21/07/2010 ϟ CARTE DU MARAUDEUR : Sur la tete des jeunes élèves ou dans le bureau d'Albus Dumbledore
Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE] Jeu 21 Avr - 14:35
Bienvenue à toi. Il y a des élèves ou c'est tellement facile de les placés tout comme vous miss Donaldson. Je dirais ... SERDAIGLE. Bienvenue à toi, dans ta nouvelle maison si on peut dire sa comme ça. Tu as toutes les qualités qu'un Serdaigle peu avoir, amuse-toi bien parmis les bleus et noirs, soit leurs fidèles ...jusqu'à la fin !
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Sujet: Re: MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE]
MINI | nous sommes tous frères sous la peau, j'aimerai écorcher l'humanité pour le prouver [SERDAIGLE]
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